« Unités de mesure » : différence entre les versions
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Les Eorzeens mesurent la longueur et la distance en ilms, fulms, yals et malms. L’ilm est l’unité de mesure fondamentale, approximativement équivalente à la longueur d’un pouce de Hyur adulte, au-dessus il y a les fulms les yalms et enfin les malms, tous calculés en utilisant la base du ilm. Il va sans dire que la taille des éléments du corps varient d’un individu à l’autre. Ces unités étaient donc imprecises lors de leurs premières utilisations. Tandis que ce n’était pas vraiment un problème dans les petites communautés, la confusion s’est rapidement installée comme les échanges et le commerce se répandaient dans le royaume. | Les Eorzeens mesurent la longueur et la distance en ilms, fulms, yals et malms. L’ilm est l’unité de mesure fondamentale, approximativement équivalente à la longueur d’un pouce de Hyur adulte, au-dessus il y a les fulms les yalms et enfin les malms, tous calculés en utilisant la base du ilm. Il va sans dire que la taille des éléments du corps varient d’un individu à l’autre. Ces unités étaient donc imprecises lors de leurs premières utilisations. Tandis que ce n’était pas vraiment un problème dans les petites communautés, la confusion s’est rapidement installée comme les échanges et le commerce se répandaient dans le royaume. | ||
Les choses se sont précipité dans l’année 986 de la sixième ère astrale, lorsqu’un pirate venu à Limsa Lominsa pour se procurer une voile sur le marché noir s’est rendu compte que son achat était plus court que la longueur pour laquelle il avait payé. Bien que des récits contradictoires de l’incident existent, la plupart s’accordent à dire que la colère du marin fut telle qu’elle fit une cinquantaine de morts et de blessés. L’Amiral de Limsa Lominsa Agatzahr Roehmerlsyn agit rapidement en arrêtant le pirate à l’origine de l’agitation, lui arrachant le pouce et déclara alors qu’il servirait dorénavant comme mesure standard d’un ilm dans tout le pays. Des répliques en fonte des doigts coupés du boucanier ont ensuite été produites en masse et distribuées dans tout le royaume pour servir de règle unique. Les disputes sur les mesures approximatives furent vite oubliées. | Les choses se sont précipité dans l’année 986 de la sixième ère astrale, lorsqu’un pirate venu à Limsa Lominsa pour se procurer une voile sur le marché noir s’est rendu compte que son achat était plus court que la longueur pour laquelle il avait payé. Bien que des récits contradictoires de l’incident existent, la plupart s’accordent à dire que la colère du marin fut telle qu’elle fit une cinquantaine de morts et de blessés. L’Amiral de Limsa Lominsa Agatzahr Roehmerlsyn agit rapidement en arrêtant le pirate à l’origine de l’agitation, lui arrachant le pouce et déclara alors qu’il servirait dorénavant comme mesure standard d’un ilm dans tout le pays. Des répliques en fonte des doigts coupés du boucanier ont ensuite été produites en masse et distribuées dans tout le royaume pour servir de règle unique. Les disputes sur les mesures approximatives furent vite oubliées.<ref name=":1">Encyclopedia Eorzea I - p 020</ref> | ||
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Version du 16 août 2022 à 00:09
Système métrique
Les Eorzeens mesurent la longueur et la distance en ilms, fulms, yals et malms. L’ilm est l’unité de mesure fondamentale, approximativement équivalente à la longueur d’un pouce de Hyur adulte, au-dessus il y a les fulms les yalms et enfin les malms, tous calculés en utilisant la base du ilm. Il va sans dire que la taille des éléments du corps varient d’un individu à l’autre. Ces unités étaient donc imprecises lors de leurs premières utilisations. Tandis que ce n’était pas vraiment un problème dans les petites communautés, la confusion s’est rapidement installée comme les échanges et le commerce se répandaient dans le royaume.
Les choses se sont précipité dans l’année 986 de la sixième ère astrale, lorsqu’un pirate venu à Limsa Lominsa pour se procurer une voile sur le marché noir s’est rendu compte que son achat était plus court que la longueur pour laquelle il avait payé. Bien que des récits contradictoires de l’incident existent, la plupart s’accordent à dire que la colère du marin fut telle qu’elle fit une cinquantaine de morts et de blessés. L’Amiral de Limsa Lominsa Agatzahr Roehmerlsyn agit rapidement en arrêtant le pirate à l’origine de l’agitation, lui arrachant le pouce et déclara alors qu’il servirait dorénavant comme mesure standard d’un ilm dans tout le pays. Des répliques en fonte des doigts coupés du boucanier ont ensuite été produites en masse et distribuées dans tout le royaume pour servir de règle unique. Les disputes sur les mesures approximatives furent vite oubliées.[1]
| Dénomination | Aproximation | Metrique |
| 1 Ilm | Un pouce d'hyur, une rolambaie mure | 2,54 cm cm |
| 1 fulm | 12 ilms, Un pied Hyur, une plume de queue de chocobo | 30,48 cm |
| 1 yalm | 3 fulms, une épée batarde, un homme lalafell adulte | 0,9 metres |
| 1 malm | 1760 yalms, la distance qu'un Elezen adulte peut courir en 30 heures, la taille approximative d'O'Ghomoro | 1,6 km |
Système de poids[1]
| Dénomination | Aproximation | Grammique |
| 1 onze | Un pouce d'Hyur adulte, une pièce de 100 gils | 28 grammes |
| 1 ponze | 16 onzes, une pierre de mesure de marchande, une motte de beurre de Kukuru | 453 grammes |
| 1 tonze | 2000 ponzes, un Goobbue mature, 600 bouteilles de rouge de Port-Aux-Vins (dans un emballage standard) | 907,6 Kilogrammes |
Le temps
Le Calendrier Eorzéen:
Ecrit en 233 de la sixième ère astrale par Lewphon de Sharlayan, maître en théologie et astrologue, pour recueillir l’ensemble des histoires disparates des nations d’Eorzea avec un sujet commun: le fil du temps.[2]
chapitre 1 - Les Soleils (Les jours):
Par l’unité d’un soleil, nous entendons cette période qui dure pendant la durée de quatre cycles de six heures élémentaires - celles de la Glace, l’Eau, le Vent, la Foudre, le Feu, et la terre. Aussi le soleil est de vingt-quatre heures et il en sera toujours ainsi.[3]
Les jours ont également des noms particuliers dans FFXIV. Ils sont en réalité basés sur ceux de FFXI. Chacun correspond à un élément, la glace, l'eau, le vent, la foudre, le feu, la terre, le jour astral et le jour ombral. (En anglais: Iceday - Watersday - Windsday - Lightningday - Firesday - Earthsday - Astralday - Umbralday). Malheureusement nous n'avons pas la traduction française de ces noms à ce jour.[4]
Chapitre 2 - les lunes (les mois):
La vie d’une seule Lune s’étend sur quatre cycles de huit Soleils, elle est donc la somme finale de trente deux. Les huit dérivent des six éléments et de leur polarité, Glace, Eau, Vent, Foudre, Feu, Terre, astral et ombral.[3]
Chapitre 3 - les années
L’année se termine lorsque la lune parcourt l’ensemble de ses deux pôles, astral et ombral, passant d’élément en élément. L’année est donc composée de douze Lunes. La première et la seconde lune sont respectivement la première astrale et la première ombrale et ensemble elles partagent des affinités avec la glace. Sous leur regard, tout est gelé et le souffle de la vie est silencieux. Les deuxièmes Lune astrale et ombrale viennent en troisième et quatrième position, elles sont l’eau formée par la fonte des glaces et leur écoulement étanche la soif de vie. Le cinquième et le sixième mois sont respectivement la troisième Lune astrale et la troisième lune ombrale. Ce sont les vents soufflés au-dessus des flots transportant leurs bienfaits célestes ça et là. La quatrième paire astrale et ombrale sont les sixième et cinquième Lunes. Lorsque les cieux se déchaînent, la foudre est envoyée sur terre pour tester la foi des hommes. Les neuvième et dixième Lunes sont les cinquièmes, astrale et ombrale. La foudre frappant la terre se change en feu et embrase la vie de la couleur de ses flammes, saignant la lame et la feuille dans des brillances brulées ou écarlates. L’année se termine avec les onzième et treizième Lunes, les sixième astrale et ombrale durant lesquelles la terre consume tout puisque c’est de la terre que nous naissons, nous sommes poussière et c’est à la poussière que nous retournerons.[3]
Chapitre 4 - Des hommes
Les Douze dans leur sagesse ont jugé bon d’accorder à l’homme le cycle des années et en retour, les hommes ont lié ces connaissances aux dieux - l’année de la Navigatrice, du Vagabond, de l’Artisan, du Destructeur, du Contemplateur , des Commerçants, de la Matrone, du Gardien, de la Conquérante, de la Bien-aimante, de l’Erudit et de la Fileuse. Le passage de ces douze années est sacré et ensemble, elles constituent une génération, durant laquelle ses histoires et ses efforts sont mesurées.[3]