« Chevaliers noirs (Job) » : différence entre les versions
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Version du 18 août 2022 à 15:07
Histoire
En l'an 960 de la Sixième Ère Astrale, un roturier du nom de Tryphaniel le Désargenté fut fait chevalier d'Ishgard pour ses actes de bravoure sur le champ de bataille. Jeune élézen doté d'un sens inébranlable de la justice, le désir de défendre la cause des plus démunis est immuable, même après son entrée dans la noblesse ishgardaise. Mais un jour, alors qu''il aperçu un un ecclésiastique traîner un enfant qui errait dans les ruelles de la Brouillasse, il se mis à les suivre. Les soupçons du noble chevalier se confirmèrent lorsqu'il entra dans la maison isolée du prêtre et le trouva en train de commettre des actes immoraux sur le corps de l'enfant enlevé. Surpris par son visiteur inattendu, l'ecclésiastique tenta d'expliquer ses actes ignobles comme une forme d'"exorcisme", mais Tryphaniel, furieux, dégaina son épée sans hésiter et répondit aux excuses bafouillées d'un seul coup fatal.
Cependant ses compairs ne virent pas son héroïsme comme un acte de bravoure, ils le condamnèrent pour avoir tué un membre de la sainte église. Il fut contraint de défendre sa vie lors d'un procès par combat, mais bien qu'il ait survécu, il fut décrété qu'il serait déchu de son titre de chevalier de la sainte cité. Inébranlable face aux accusations qui l'incombaient d'avoir sombré dans les ténèbres, Tryphaniel s'exclama qu'il serait heureux d'abandonner un titre qui l'obligeait à fermer les yeux sur la souffrance d'un enfant. Il jeta son bouclier, et poursuivit sa croisade pour les gens du peuple, sans penser ni craindre ce que d'autres considéraient comme tabou. Ses actes justes ont inspiré quelques courageux à embrasser le chemin de l'interdit, et ainsi est né l'héritage du chevalier noir.
Ceux ayant choisi la voie du chevalier noir cultivent notamment cette part de ténèbres qui sommeille en eux. Délaissant le symbole de la chevalerie, ces justiciers de l'ombre ont choisi l'épée à deux mains comme arme de prédilection, et font appel à des pouvoirs occultes pour accomplir leur sombre vocation. Aujourd'hui, il ne reste que très peu de chevaliers noirs, mais cette volonté de fer de faire leur propre justice n'a pas changé au fil de ses années.
Les chevaliers noirs
Lorsque l'on veut devenir un chevalier noir, le maniement d'une lame à deux mains fait partie intégrante de l'image d'un chevalier noir, qui délaisse l'épée et le bouclier, il est donc nécessaire d'en prendre connaissance et de s'y familiariser. Aucune méthode précise n'existe pour l'apprentissage d'un chevalier noir, cela peut être aussi bien la rencontre d'un autre chevalier noir qui soit prêt à l'enseigne, ou d'avoir en sa possession un cristal d'âme, afin de pouvoir réveiller cette force occulte qui sommeille en eux.
Ils existent pas seulement des chevaliers noirs d'origine d'être Ishgardais ou originaires d'Ishgard, mais c'est là que l'art est né, où la lignée connue des enseignants / cristaux d'âme possibles semble se situer. Et de même, un chevalier noir n'a pas besoin d'exploiter forcément ses ténèbres pour être un chevalier noir, à l'origine ils n'étaient que des épéistes
Les chevaliers noirs ne sont pas intrinsèquement bons ou mauvais. Ils sont humains. Les pensées de jalousie, de colère et de chagrin ne sont pas intrinsèquement mauvaises, et les chevaliers noirs non plus. C'est lorsque vous niez avoir ces sentiments qu'ils deviennent un problème ; ces pensées donnent à sa part d'ombre suffisamment de pouvoir pour se manifester, et il veut avoir sa propre vie, avec vous à l'écart.
Les chevaliers noirs ne se soucient pas de leur image, ils sont régulièrement vu comme des parias de la société, des criminels ou des monstres, mais ce sont ceux qui sont bien souvent prêt à faire des sacrifices pour parvenir à leurs fins.
Des actions qui ne sont pas forcément appréciées par les autorités de ces cités-états.
Un chevalier noir adopte son propre code de conduite, ce n'est pas un tueur enragé. Il se détache des instances gouvernementales car il trouve que la justice actuelle est impuissante et corrompue, et décide donc de rendre justice lui-même par son épée, et de protéger ceux qu'il juge dans le besoin.
Le cristal d'âme d'un chevalier noir permet de pouvoir éveiller et canaliser de ses ténèbres, qui fait partie de chacun d'entre nous, mais qu'il est nécessaire de prendre le temps de le maîtriser, sans un entraînement approprié, cela peut être dévastateur pour son propriétaire, le laissant se faire succomber par ses propres ténèbres.
Se servir de ses ténèbres, comme une arme de défense, cela a un prix, un sacrifice acceptée par ceux qui chercheront à rendre leur justice. Une voix mystérieuse accompagne bien souvent les porteurs de ses cristaux, leur servant de guide spirituel dans leur apprentissage. Mais plus ils utiliseront leurs ténèbres, plus cette voix sonnera bien plus clair qu'au départ, mais pour cela dans certains cas connus, c'est un investissement de longue haleine pour ses combattants, afin de découvrir l'identité de cette voix.
Pour exercer les pouvoirs d'un chevalier noir, ils doivent exploiter leurs émotions les plus fortes. Ceux-ci ne doivent pas nécessairement être négatifs comme la jalousie ou la colère. Cela peut aussi être un bonheur extrême (mais étant donné les types de personnages qui parcourent les quêtes du chevalier noir, la gamme typique d'émotions a tendance à virer vers les plus sombres).
Les Ténèbres (ou la part d'ombre)
Née de la peur et de la colère au sein même de l'âme du chevalier noir, cette flamme de l'ombre se nourrit de l'éther de son utilisateur, ses feux stygiens traversant sa lame et alimentant ses arts occultes. Mais comme toujours, un tel pouvoir a un prix : si le chevalier noir perd le contrôle de ces ténèbres, il sera consumé par un retour de flamme d'énergies entropiques.
Alimenté par les ténèbres de l'intérieur, le chevalier noir utilise ces techniques pour donner un côté arcanique aux coups de son épée. Bien qu'ils soient connus pour leur dédain des boucliers, le style de combat des premiers chevaliers noirs était néanmoins fondé sur le maniement ordinaire de l'épée longue, et ce n'est que plusieurs siècles plus tard qu'un membre de leur ordre a percé les secrets de cet art occulte.
En infusant un vaste puits d'éther avec sa propre obscurité intérieure, le chevalier noir peut former des barrières arcaniques imprenable. Libérant sa douleur et sa rage sur les ennemis proches, le chevalier noir peut manifester un cercle de pointes d'un noir d'encre sur le sol autour de lui. Tous ceux qui sont pris dans ses épines sont frappés d'une terreur irraisonnée, et d'un besoin irrésistible de s'en prendre à celui qui le provoque. Le chevalier noir peut avoir une certaine capacité de survie, par le biais d'une technique lui permettant de continuer à se battre, malgré les blessures les plus atroces, et de faire preuve d'une immunité à la douleur, semblable à celle des morts-vivants. Bien qu'indéniablement efficace, abandonner sa forme corporelle à l'énergie négative de cette manière, même brièvement, est un grand risque, pouvant à tout moment perdre le contrôle.
Les ténèbres utilisées par les chevaliers noirs ne sont pas spécifiquement bonnes ou mauvaises. C'est la peur, le regret, la colère et la douleur qui nourrissent l'éther, ce qui le fait se manifester physiquement sous la forme d'une énergie sombre.
La colère n'est pas par définition un mal. La peur n'est pas mauvaise. La peur pour les personnes qui vous sont chères est l'une des grandes motivations qui poussent les gens à des actes héroïques pour protéger leurs proches.
Les risques encourus par les chevaliers noirs sont que, comme ces émotions, s'ils perdent le contrôle de cette obscurité, cela peut être très destructeur. Ils doivent avoir quelque chose dans lequel ils sont émotionnellement investis pour les ancrer et se battre.
Si un chevalier noir cède à ses propres ténèbres, il sera remplacé par sa part d'ombre et il n'existe aucun remède connu pour cela. C'est une lutte constante à laquelle chaque chevalier noir est confronté.
Les équipements
La guerre du Chant des Dragons a incité Ishgard à perfectionner ses industries martiales, les domaines de la métallurgie et de la forge ne faisant pas exception.
Les plaques ishgardiennes furent rapidement considérées comme les plus fines de tout Éorzéa, même si pendant des siècles elles restèrent médiocres sous l'assaut des crocs et des griffes draconiques. Les forgerons de la Saint Cité, convaincus que le meilleur moyen d'atténuer les dommages était de les éviter, ont troqué la couverture intégrale du corps contre une mobilité accrue - un sacrifice qui permettait des attaques rapides et une retraite sans entrave, le style de combat préféré des chevaliers dragons de la cité-état. Cela, cependant, a posé un dilemme pour l'ordre des chevaliers noirs d'Ishgard. Comme leur credo les oblige à ne pas porter de bouclier, il leur fallait une armure assez résistante pour repousser plus qu'un simple regard. Après des générations de raffinement, les artisans d'Ishgard se sont finalement mis d'accord sur un modèle qui, tout en ressemblant à l'armure protectrice d'un chevalier dragon, mais comportant une plaque considérablement plus épaisse reliée à une cotte de mailles flexible au niveau des articulations.
Le casque d'un chevalier noir dissimule traditionnellement la totalité de sa tête. Les cornes décoratives de ce casque particulier sont censées symboliser le premier dégoût de l'ordre des chevaliers noirs pour l'iniquité (une injustice insupportable). Leur cuissière, attaché à la cuisse, est porté avec les solerets pour assurer une couverture impénétrable de la jambe. Une cotte de mailles est généralement superposée en dessous pour une protection supplémentaire. Les nombreuses plaques superposées de forme et de taille variées, composent cette cuirasse, minimisent les espaces entre les pièces, tandis que les pointes vicieuses servent à intimider toute personne assez stupide pour provoquer un chevalier noir.
Sources
- Sites des jobs - Le chevalier noir
- Les Quêtes du chevalier noir (Lorefinder)
- Lorebook I - Le chevalier noir (p. 238-239)
- Lorebook II - L'équipement du chevalier noir (p.224)