« Tural (Nouveau Monde) » : différence entre les versions
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Shaaloani, cette grande plaine aride occupe la partie centrale du continent. Recouverte de terres désolées où il ne pleut presque jamais, elle est aussi ponctuée de quelques lacs enveloppés par une riche végétation, ce qui crée un contraste saisissant. Depuis la découverte de sources de céruleum dans son sol, la région s'est rapidement développée, notamment avec l'installation d'une ligne de chemin de fer qui est venue bousculer les traditions. | Shaaloani, cette grande plaine aride occupe la partie centrale du continent. Recouverte de terres désolées où il ne pleut presque jamais, elle est aussi ponctuée de quelques lacs enveloppés par une riche végétation, ce qui crée un contraste saisissant. Depuis la découverte de sources de céruleum dans son sol, la région s'est rapidement développée, notamment avec l'installation d'une ligne de chemin de fer qui est venue bousculer les traditions. | ||
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L'Hoirie recouvrée, une zone anormalement chargée en éther de foudre, et où les nuages orageux assombrissent le ciel jour et nuit. | L'Hoirie recouvrée, une zone anormalement chargée en éther de foudre, et où les nuages orageux assombrissent le ciel jour et nuit. | ||
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Le "Triangle maudit", une zone maritime proche du continent, semble habiter une île à la végétation luxuriante, donc il est impossible à approcher, sous peine de ne jamais en revenir... | Le "Triangle maudit", une zone maritime proche du continent, semble habiter une île à la végétation luxuriante, donc il est impossible à approcher, sous peine de ne jamais en revenir... | ||
Version du 30 mai 2024 à 11:21
Histoire
Les tentatives d'unification de la Trigée (Éorzéa, Ilsabard et Othard) sont arrivées très tôt dans notre histoire : l'empire d'Allag[1], qui prospérait alors sur le petit continent d'Aldenard, fut le premier à réussir en s'étendant vers l'est. Plus récemment, celui de Garlemald a eu la même ambition, sans y être parvenu totalement. A Tural, en revanche, réaliser une telle manœuvre fut plus difficile. S'il y a bien eu des guerres de pouvoir entre tribus voisines, il a longtemps été impossible pour chaque clan de mener campagne contre les peuplades plus éloignées, notamment à cause des variations climatiques susmentionnées. En effet, les clans des régions froides, habitués aux basses températures, étaient incapables de franchir les brûlantes étendues désertiques ; ceux des zones tempérées, bien que plus nombreux, étaient généralement inaptes aux affrontements en jungle profonde et donc contraints de battre en retraite. Ainsi, le continent fut préservé d'une domination totale durant des siècles, du fait de ses disparités territoriales. En ce sens, on peut donc dire que l'unification du continent occidental réalisée par l'actuel souverain Mamool Ja du royaume fédéré est un véritable exploit.[2][3]
Dans le passé, les Yok Huy dirigeaient un empire à Tural, basé à Urqopacha .
A cause du manque de preuves d’ouvrages ou de traces historiques pour soutenir l'existence de cette terre, on débattait encore il y a quatre-vingts ans pour savoir si cet endroit n'était pas qu'une simple exagération littéraire au sein des trois grands continents de ce mystérieux continent.[4]
En 1498 de la Sixième Ère Astrale, un aventurier Roegadyn nommé Ketenramm le Bleu de Limsa Lominsa redécouvrit le Nouveau Monde après avoir navigué vers l'ouest à travers la mer d’Indigo pendant deux mois. Bien qu'il ait tenté de le nommer « Ketenland », le Nouveau Monde est aujourd'hui le nom utilisé par la plupart des trois grands continents. Après avoir découvert le continent, Ketenramm et son équipage ont passé plusieurs mois à explorer l'intérieur des terres et sont tombés sur la nation des Mamool Ja. Ketenramm a présenté des cadeaux d'Éorzéa au chef des Mamool Ja, qui leur a permis de parcourir sa nation pendant le temps de leur séjour. Ketenramm et son équipage ont cartographié le territoire et rassemblé divers produits agricoles, tels que des citrouilles ogres, des tomates rubis, des popotos et des poires alligators, qu'ils ont apportés avec eux en Éorzéa.
Après avoir découvert le continent, Ketenramm et son équipage ont passé plusieurs mois à explorer l'intérieur des terres et sont tombés sur la nation des Mamool Ja. Ketenramm a présenté des cadeaux d'Éorzéa au chef des Mamool Ja, qui leur a permis de parcourir sa nation pendant le temps de leur séjour. Ketenramm et son équipage ont cartographié le territoire et rassemblé divers produits agricoles, tels que des citrouilles ogres, des tomates rubis, des popotos et des poires alligators, qu'ils ont apportés avec eux en Éorzéa.[3]
Après son retour en l'an 1500 de la Sixième Ère Astrale, la nouvelle de la découverte de l’explorateur se répandit dans toute la cité-état. De plus en plus de limséens se mirent à la recherche de gloire et de richesses dans le Nouveau Monde, ouvrant la voie à un âge d'or d'exploration. Ces voyages furent entravés par des naufrages et des embuscades des Sahuagin.
En 1555, Merlwyb Bloefhiswyn dirige le clan du Sable d’argent lors d'une expédition vers le Nouveau Monde. Après son expédition d'un an, elle retourne à Limsa Lominsa en découvrant un passage sûr vers le Nouveau Monde.[5]
Il y a quelques années, Galuf Baldesion a été invité à Tural (également connu sous le nom de Mamook) pour enquêter sur la légendaire cité dorée.
À mesure que Gulool Ja Ja, dirigeant de Tural, vieillissait, un concours pour désigner son successeur devait avoir lieu. L'aide étrangère aux candidats participant au concours était non seulement acceptée mais encouragée par Gulool Ja Ja, car le futur chef de Tuliyollal aura besoin de savoir diriger une myriade de cultures différentes au sein de son royaume.[2]
Chronologie de la découverte du continent de Tural[5]
1497 - L’aventurier Limséen Ketenramm le Bleu embarque pour une expédition à travers les mers occidentales.
1498 - Ketenramm découvre des terres inexplorées à travers la mer occidentale. Il part en voyage, établissant le premier contact avec la nation florissante de Mamool Ja.
1499 - Ketenramm et son équipage visitent la capitale autochtone Mamool Ja. L’expédition fait une offrande de cadeaux Limséens au roi du Nouveau Monde, qui en retour accorde à ses invités des trésors d’argent raffinés.
1500 - La nouvelle de la découverte miraculeuse de Ketenramm se répand à travers la cité-état, et de plus en plus de Limséens partent à la recherche de gloire et de richesses dans le Nouveau Monde, inaugurant un âge d’or de l’exploration. Ces voyages se heurtent à des difficultés - des naufrages dans les mers agitées de l’Ouest, des embuscades tendues par les Sahuagins des profondeurs d’Indigo - et les quais ainsi que les tavernes de la capitale regorgent d’histoires de malheur
1517 - Limsa Lominsa demande aux tribus kobolds de conclure un accord de paix afin de concentrer leurs forces sur la campagne contre les Sahagin et d'éviter de mener une guerre sur deux fronts.
1518 - Les Chevaliers du Barracuda et de nombreuses flottes de pirates unissent leur forces et naviguent dans les Profondeurs Indigo pour combattre les Sahuagins dans ce qui est communément appelé la Bataille des Profondeurs Indigo. L’opération se solde par un échec.
1554 – Merlwyb Bloefhiswyn prend le commandement du clan du Sable d’argent.
1555 - Merlwyb, aujourd'hui âgé de vingt ans, dirige le clan du Sable d’argent dans une expédition vers le Nouveau Monde.
1556 – Merlwyb retourne triomphalement à Limsa Lominsa, après avoir découvert un passage sûr vers le Nouveau Monde.
1559 - Merlwyb, aujourd'hui vingt-quatre ans, forme une armada marchande armée et se lance dans une expédition commerciale vers l'ouest.
Géographie[4]
La cité-état de Tuliyollal, installée sur le flanc d'une montagne bordant la mer, elle est parsemée d'escaliers et de chemins pentus qui relient le port au palais de l'Aurarque, capitale du Nouveau Monde, se situe à la frontière entre les deux moitiés de Tural, du côté de Yok Tural avec un pont reliant Xak Tural.
Dirigée par Gulool Ja Ja, l'Aurarque, Tuliyollal est la capitale de la nation fédérale tentaculaire des Mamool Ja, elle abrite une population très cosmopolite et déborde constamment d'énergie, elle entretient également des routes commerciales avec Sharlayan et Limsa Lominsa. Tural est divisé en Yok Tural au sud et Xak Tural au nord.[6]
Elle abrite une légendaire cité d'or entourée de mystère.
Au sud, Yok Tural comprend :
Urqopacha, une région montagneuse, abrite les Pelupelu, un peuple de marchands, ainsi que les imposants Yok Huy. Les visiteurs qui s'y rendent seront accueillis par la silhouette majestueuse de Worqor Zormor, montagne sacrée et plus haut pic du Tural.[6]
Yak T'el, une forêt épaisse accessible depuis Tuliyollal via un vol dirigeable au-dessus des montagnes du sud-est. Les hauts plateaux qui la dominent sont devenus le terrain de chasse privilégié des Xbr'aal, et sa partie basse, éclairée par les quelques rayons de soleil parvenant à percer la canopée, est occupée par les Mamool Ja. Elle regorge de superbes cénotes abritant des étangs et des sources céruléens.[6]
Kozama'uka, cette jungle luxuriante s'étend au sud de Tuliyollal. Elle est traversée par de nombreux cours d'eau qui trouvent leur source dans les montagnes à l'ouest, et qui ont sculpté le paysage au fil du temps pour former des cascades à couper le souffle. C'est également là que sont installés les Mobelins et les Hanu Hanu.[6]
Au nord, Xak Tural comprend :
Shaaloani, cette grande plaine aride occupe la partie centrale du continent. Recouverte de terres désolées où il ne pleut presque jamais, elle est aussi ponctuée de quelques lacs enveloppés par une riche végétation, ce qui crée un contraste saisissant. Depuis la découverte de sources de céruleum dans son sol, la région s'est rapidement développée, notamment avec l'installation d'une ligne de chemin de fer qui est venue bousculer les traditions.
L'Hoirie recouvrée, une zone anormalement chargée en éther de foudre, et où les nuages orageux assombrissent le ciel jour et nuit.
Le "Triangle maudit", une zone maritime proche du continent, semble habiter une île à la végétation luxuriante, donc il est impossible à approcher, sous peine de ne jamais en revenir...
La tribu des Whalaqee et la magie bleue[7][8]
Ils habitent près d’une zone appelée la Vallée Bleue, riche en céruléum. Les Whalaqee considèrent la couleur bleue comme sacrée car la Vallée bleue contient une grande quantité de céruléum enfouie dans le sol. Ils sont à l’origine de la création de la magie bleue, d’où cette magie en tire sa provenance, avant d’être exporté vers les contrées éorzéennes
La Vallée bleue, lieu sacré des Whalaqee, est un lieu où les roches sont recouvertes d'un bleu azur éclatant, phénomène qui s'explique par la grande quantité de céruléum enfouie dans le sol.
Cet art magique ancestral utilisé par l'une des tribus minoritaires locales : les Whalaqee. Ce peuple animiste vénérait les esprits de la nature. Pour se rapprocher de l'objet de leur foi, ils mirent au point une technique d'assimilation pour s'approprier les sorts que pouvait utiliser la faune locale.
Races & Tribus[4][9]
Le continent abrite des colonies de tribus Hrothgar, tel que celui du clan des Xbr'aal, situé à Yak'tel, et Mamool Ja à travers tout son territoire. Mais également, une tribu de Hyur appelée les Whalaqee, vivant dans un lieu appelé “La Vallée Bleue”.
Les Mamool Ja se vantent d'avoir l'une des sociétés indigènes les plus impressionnantes de Tural. Des documents rapportés par les explorateurs révèle que les Mamool Ja sont plus précisément décrits comme une fédération ou une alliance de nombreuses tribus distantes, chacune ayant des caractéristiques physiques distinctes : les Hoobigo à l'écaille brune avec leurs crêtes longues, les Boonewa aux grands yeux et à l'écaille bleue, et les Doppro mouchetés.
Il y a plus de mille ans, bien avant la naissance de Tuliyollal, les Yok Huy ,ils régnaient autrefois en maîtres sur une bonne partie du continent, mais leur pouvoir s'est étiolé au cours des siècles, et les quelques individus restants vivent désormais retranchés. Ils possèdent une vision unique de la vie et de la mort et ont pour habitude de chroniquer leurs existences à travers leur propre système d'écriture pictographique. Aujourd’hui, la région est également peuplée par les Pelupelu, un petit peuple habitant dans la région d‘Urqopacha, ces marchands invétérés parcourent le continent à dos d'alpaga pour écouler leurs produits. Ils sont facilement reconnaissables à leur tenue colorée ainsi qu'à leurs masques qui symbolisent leur honnêteté en tant que commerçants. Leur spécialité est la production de thé, de café, d'un alcool appelé mezcal, mais également d'articles à base de laine d'alpaga.[6]
D’autres races vivant à Tural ont également des ethnies similaires avec certaines tribus d’hommes-bêtes vers les terres éorzéennes, comme les Mobelins, vivant principalement dans la jungle de Kozama'uka, ces cousins éloignés des Gobelins sont réputés pour leur capacité à dénicher n'importe quel produit, aussi rare soit-il. Ils entretiennent également des relations étroites avec des artisans de tous horizons qu'ils fournissent en matière première de qualité, pour leur permettre de créer de magnifiques pièces d'orfèvrerie. et les Hanu Hanu, ces habitants de Kozama'uka ressemblent en apparence aux Vanu Vanu de L'Écume des cieux d'Abalathia. Outre leur robe de couleur différente, ils ne vénèrent pas la baleine céleste Bismarck, mais une divinité aviaire appelée Kixaihih. Leurs habitations sont installées au bord de cours d'eau, et ils se nourrissent principalement des roseaux qu'ils cultivent.[6]
Alimentation[3]
Si de nos jours, nous avons l'habitude de voir une grande variété de légumes dans nos assiettes, cela n'a pourtant pas toujours été le cas.
Par exemple, les popotos, les citrouilles des ogres ou les tomates rubis proviennent du Tural. Leur découverte remonte à l'an 1498 de la 6e ère astrale, lorsque Ketenramm traverse l'océan Indigo sur son navire et, au terme d'un long voyage, foule le sol de ce monde inconnu.
Après avoir montré ses intentions pacifiques aux autochtones, il entreprit une grande expédition qui dura plusieurs lunes afin de cartographier l'intérieur des terres, prélevant au passage des bulbes et des graines de diverses espèces végétales qu'il ramena ensuite en Éorzéa.
Par ailleurs, le navigateur ne s'est pas contenté de ramener que des échantillons de légumes. Il a aussi fait connaître aux Éorzéens certains pans de la culture et des mythes de ces contrées, allant de la recette des burritos aux haricots, à bien d’autres types de découvertes…
Aliments[10]
Popoto sauvage
Une variété de popoto sauvage particulièrement résistante. Il a suffi de quelques générations pour que cette plante importée du Nouveau Monde devienne résolument différente de ses cousines cultivées à la ferme. Le popoto du Nouveau Monde a d'ailleurs rapidement rencontré un vif succès en Éorzéa grâce à ses grandes propriétés nutritives et la facilité avec laquelle elle peut être cultivée. Ainsi, elle se répandit rapidement dans le continent éorzéen, chacune proposant sa variété unique.
Poivron de Reagan
Une variété de poivron originaire du nouveau continent. Son amertume en fait un mets de choix pour les chocobos.
Potiron de Mimett
Une variété de potiron originaire du nouveau continent. Les chocobos raffolent de sa chair légèrement sucrée. Une grosse courge charnue ramenée du Nouveau Monde par les explorateurs limséens. Bien que trop sucrés pour les goûts de la plupart des gens, les chocobos sont connus pour apprécier leur saveur et les courges sont donc souvent utilisées comme fourrage pour les animaux
Tomate de Pahsana
Une variété de tomates originaires du nouveau continent. Elle est un excellent stimulant pour les chocobos. Un fruit rouge vif ressemblant à une tomate ramené du Nouveau Monde par les explorateurs limséens. Bien que trop piquants pour les goûts de la plupart des gens, les chocobos sont connus pour apprécier leur saveur et leurs fruits sont donc souvent utilisés comme fourrage pour les animaux.
Milli-maïs
Un épi recouvert d'une infinité de minuscules graines de maïs. Des centaines de grains jaunes sucrés ornent chaque épi de ce légume originaire du Nouveau Monde récemment découvert.
Poire d’alligator de Mamook
Bien qu’il soit généralement évité par les cinq races, et même par les Mamool Ja eux-mêmes, il est apprécié par les chocobos et est connu pour accentuer les teintes vertes de leurs plumes. Un excellent aliment amer qui renforce les nuances vertes du plumage.
Recettes traditionnelles[10]
Aqua del Sol[11]
Signifiant littéralement « Eau du soleil », l’Aqua del Sol a été ramenée à l’origine par des expéditions dans le Nouveau Monde, à travers l’océan d’Indigo. Peu de temps après, les Éorzéens commencèrent à fabriquer leur propre variante de la boisson à partir de la chair des pampas du Thanalan.
Purée de popotos
Des popotos cuites et écrasées avec du fromage dans une purée onctueuse. Ce plat issu du nouveau continent de l'ouest est encore plus savoureux avec du beurre salé.
Déjeuner du nouveau monde : burritos
Un déjeuner du nouveau continent composé de galettes richement garnies et enroulées sur elles-mêmes. L'un des nombreux plats délicieux inventés par les habitants du Nouveau Monde, ce déjeuner se compose d'un assortiment bien assaisonné de haricots, de légumes et de viandes enveloppés dans des tortillas souples.
Plantes[10]
Échinacée
Une plante vivace aux hautes vertus médicinales. Ramenée du Nouveau Monde à l'ouest, cette plante aux grandes fleurs en forme de corne s'est récemment révélée efficace pour guérir plusieurs maladies différentes.
Figue de barbarie
Un cactus comestible à feuilles ovales rapporté par les explorateurs du Nouveau Monde. Une baie comestible poussant sur un cactus importé d'un lointain continent d'Occident.
Créatures
L’Alpaga[2]
Un quadrupède vivant sur les crêtes abruptes des montagnes. Ce sont des bêtes dociles, élevées comme bétail par les autochtones qui s'en servent lorsqu'ils doivent crapahuter dans les hauteurs. Outre leur agilité en terrain escarpé, ils ont d'autres atouts : leur épaisse toison blanche sert à la confection de divers tissus, et leur croupe ainsi que leurs pattes robustes en font des compagnons idéaux comme bêtes de somme ou comme montures.
Wivre[2][10]
Un quadrupède reptilien peuplant les grandes régions forestières du nouveau continent. Bien que sauvages et féroces à l'origine, il semblerait que les wivres aient été domestiqués par les Mamool Ja, les wivres sont connues pour être très difficiles à dompter, mais la patience des Mamool Ja a finalement eu raison de leur entêtement.
À l'instar des alpagas, elles peuvent servir pour le transport de marchandises ou en tant que montures, mais également d'instruments de siège, en tirant parti de leur grande corne et de leur charge à la puissance destructrice.
Petit tapir[10]
Les habitants du Nouveau Monde affirment que les tapirs poussent en dévorant les rêves de leurs propriétaires sans méfiance.
Escargot gland[10]
Ce mollusque gastéropode vient du nouveau continent. On pense qu'il a fait du stop sur la coque d'un navire commercial, l'escargot gland est une espèce envahissante originaire du Nouveau Monde, loin à l'ouest. Comme il compte peu de prédateurs naturels en Éorzéa, son nombre a explosé ces dernières années.
Frelon tueur[12]
Originaires du Nouveau Monde, on pense qu’elles ont été introduites en Éorzéa par des navires marchands. Leurs coques sombres servaient de lieux parfaits pour les colonies d’insectes pendant les longs voyages à travers les mers. Une fois relâchées en Éorzéa, elles ont commencé à attaquer les abeilles indigènes, exterminant des populations entières et ruinant les moyens de subsistance de nombreux apiculteurs.
Guêpe Pepsis[12]
Avec la guêpe, la guêpe Pepsis est une autre espèce d'abeille surdimensionnée du Nouveau Monde. Les Sharlayanais les utilisaient à l’Arboretum de Saint-Mocianne pour polliniser diverses espèces rares et exotiques. Cependant, plusieurs guêpes Pepsis se seraient échappées lors de l'exode de Sharlayan, formant des colonies indépendantes dans les arrière-pays dravaniens.
Légendes et Mythes
Valigarmanda[2]
Selon les légendes, cette bête fabuleuse serait la créature la plus puissante du nouveau continent, alliant à la fois les traits d'un rapace et d'un serpent, elle est considérée comme le symbole de la nature luxuriante, au point d'être surnommé "calamité incarnée". Cependant, son existence reste assez peu vraisemblable.
Sources
- ↑ Encyclopedia Eorzéa II - Weapons Across Hydaelyn - Science and Sorcery (P. 187)
- ↑ 2,0 2,1 2,2 2,3 et 2,4 Epopée - Endwalker - Quêtes de la 6.55
- ↑ 3,0 3,1 et 3,2 Encyclopédia Eorzéa I - Geography - The Three Great Continents - New World (P. 013)
- ↑ 4,0 4,1 et 4,2 Keynote Fanfest 2023-2024
- ↑ 5,0 et 5,1 Encyclopédia Eorzéa I - A Chronology of the Sixth Astral Era (P. 047-053)
- ↑ 6,0 6,1 6,2 6,3 6,4 et 6,5 Site Promotionnel - Dawntrail
- ↑ Encyclopédia Eorzéa III - The Blue Mage (P.238 - P. 239)
- ↑ Quêtes de job - Mage Bleu
- ↑ Encyclopédia Eorzéa I - Mamool Ja (P. 265)
- ↑ 10,0 10,1 10,2 10,3 10,4 et 10,5 Items In Game FR & EN (mascottes, montures, objets, etc..) mentionnant le Nouveau Monde
- ↑ Épopée Lvl 35 - Quest "A Tall Drink of Aqua del Sol"
- ↑ 12,0 et 12,1 Encyclopédia Eorzéa I - Vilekin - Wespe and Tarantula Hawk(P. 280)