Mage Bleu (job)
La magie bleue nous vient du lointain continent occidental... Le Tural. Elle est fondée sur un art magique ancestral utilisé par l'une des tribus minoritaires locales : les Whalaqee.
Ce peuple animiste vénérait les esprits de la nature. Pour se rapprocher de l'objet de leur foi, ils mirent au point une technique d'assimilation pour s'approprier les sorts que pouvait utiliser la faune locale. J'ai nommé cette technique “Apprentissage”.
Afin de l'étudier et de la maîtriser, j'ai moi-même vécu plusieurs lunes au sein de leur clan, troquant l'instruction de leur shaman contre mon enseignement de la langue commune d'Éorzéa. Ces jours pénibles passés à suivre leur entraînement draconien resteront à jamais gravés dans ma mémoire...
Durant mon séjour, les Whalaqee me firent l'honneur de me laisser visiter la Vallée bleue, un de leurs lieux sacrés. Comme son nom l'indique, il s'agit d'un endroit où la roche est recouverte d'un bleu azur éclatant, phénomène qui s'explique par la grande quantité de céruleum enfouie dans le sol.
Au terme de mes efforts, je finis par acquérir leur technique d'Apprentissage, et à assimiler moi-même mes premiers sorts en observant les monstres. Je nommais alors cette sorcellerie d'un genre nouveau la “magie bleue”.
Je suppose que vous avez deviné d'où m'est venue cette idée : puisque la couleur bleue est sacrée pour les Whalaqee, il m'a paru normal de la choisir pour baptiser une discipline issue de leurs coutumes ! C'est une façon pour moi de rendre hommage à cet héritage.[1]
Un mage autoproclamé est revenu d’un séjour au Nouveau monde en clamant qu’il avait acquis une forme unique de magie, ne ressemblant ni à de la magie noire, ni à de la magie blanche. Ceux qui étudient cette “magie bleu”, prolifèrent maintenant parmi les aventuriers, apprennent à imiter les compétences éthérées des créatures dans la nature et on dit qu’ils ont ainsi développé une meilleure appréciation de cette dernière.[2]
Histoire
Alors que le nom “magie Bleue” est apparu pour plaire à une audience étrangère, la discipline elle même a été inventé par le peuple des Whalaqee, dont le profond regard sur le monde naturel a mené à en comprendre intimement les rouages. En effet, c’est en se confrontant aux agissements des créatures sauvages que les Whalaqee ont appris à absorber une partie de leur éther et ainsi un moyen de reproduire leurs techniques.
Le partisan de la magie bleu le plus connu en Eorzea est Martyn Goodfellow, un chercheur en magie qui a traversé les profondeurs indigo pour étudier chez les Whalaqee malgré des limitation budgétaires. C’est lui qui a transcrit la terminologie Éorzéenne et a donné un cadre à la discipline en allant jusqu’à fournir des cristaux d’âme pour rassurer les aspirants mage bleu. Ces efforts ont d’abord été perçu comme troubles à l’ordre public et on les a accusés de fraude, mais avec l’aide d’un aventurier notable et le financement de l’entrepreuneuse Uldienne Royse Royle, les problèmes de Martyn ont fini par disparaître. Grace à la naissance du Grande Mascarade, Martyn a obtenu de nombreux apprentis prometteurs et les merveilles de la magie bleue ont pris place en Eorzea.[2]
Equipement
Tenue Magus
Cette tenue vestimentaire de scène a été réalisée sur mesure par la guilde des couturiers pour les participants du Grande Mascarade à la demande de sa propriétaire, Royse Royle. La femme a demandé des vetement qui privilégient l’esthétique à l’utilité pour qu’on puisse le remarquer de loin.[2]
L’esprit des whalaqee
En découvrant les origines de la magie bleue, Royse Royle a commandé de nombreux exemplaires de cette tenue pour ses interpretes star au Grande Mascarade. On dit qu’elle est faite à l’image du loup blanc, une créature sacrée sujette d’innombrables légendes Whalaqee, un symbole indispensable dans l’embellissement du mythe de sa troupe de mages costumés.[2]
Equipement du bleu véritable
Martyn prétend que ce costume est parfait pour apprendre la magie bleue, et le vend aux aventuriers avec d’autres marchandises. Il a recruté des couturiers au petit bonheur la chance sans tenir compte de leur compétence pour produire ces vêtements, négociant rudement sur le prix de la main d’oeuvre et des matériaux. Comme on peut s’y attendre, aucun des artisans ne souhaite faire affaire avec lui à nouveau, l’un d’entre eux à même déclaré “Je préférerais mourir de faim”.[2]
Faiseur de pluie
Martyn a réussi à vendre des objets de qualité discutable à des aventuriers crédules. Cherchant désespérément à rendre un morceau de bois pathétique attrayant, il a approché un artisan novice rencontré dans une taverne en affirmant qu’il avait la méthode parfaite pour perfectionner ses compétences. Lorsqu’on lui a présenté le produit fini, il a demandé une réduction pour ‘la leçon de qualité” pour l’avoir fabriqué. Avec un bâton désormais doté d’une apparence passable et fonctionnelle il laissa la chance le guider pour se faire un nom dans l’espoir que ses disciples génèrent des gils aussi sûrement que les nuages apportent la pluie.[2]
La Grande Mascarade
La Grande Mascarade est un évènement qui oppose les âmes audacieuses à des adversaires de toutes sortes. Bien que les gladiateurs aient longtemps affronté des bêtes au Colisée, l’établissement de Royse rencontre une popularité croissante parmi les jeunes du continent à présent grace au spectacle offert par des acteurs énigmatiques comme le Bleuet masqué, ou des créatures exotiques.[2]
Totems Whalaqee
Même si Martyn fait référence au Whalaqee en créant ces totems, ils sont en vérité de son propre fait, leur nom leur conférant un semblant d’authenticité pas forcément mérité. Infusés avec l’éther des créatures du Nouveau Monde, ces totems permettent aux mages bleus d’apprendre de nouveaux sorts sans avoir à traverser la mer indigo.[2]
Compétences
Apprentissage
Entre technique et état d’esprit, Apprentissage est le sort qui permet au mage bleu de devenir un bon mage. En faisant en sorte qu’une créature utilise une de ses compétences, le mage bleu assimile l'éther pour faire ce pouvoir le sien.[2]