Ère Astrales et Ère Ombrales

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Première Ère Ombrale - Le fléau de vent

Première ère ombrale FFXIV Lore

Eorzea est caractérisée par ses fléaux élémentaires qui plongent le royaume dans de courtes, mais déchirantes périodes de chaos connues sous le nom d’Eres Ombrales, suivies de périodes plus étendues de prospérité connues sous le nom d’Eres Astrales. Qu’était le monde avant que le premier fléau ne frappe, demandez- vous. D’après les chants et les écrits de nombreuses civilisations, les théologiens pensent que la préhistoire était une période tempétueuse de création incontrôlée supervisée par un ou des dieux indécis. Créations qui disparaissaient brutalement avec la destruction de tout ce qui existait jusqu’à l'émergence de l’humanité, issue des décombres du chaos. Les historiens et les érudits spécialisés en biologie affirment, de leur point de vue, que l’humanité n’a pas pu simplement "apparaître" et suggérer que l'évolution des espèces a pris des milliers d’années avant le premier fléau. En revanche, les deux parties s'accordent pour dire que l’histoire moderne commence avec la première Ère Ombrale. Ca n’a pas été avant l’avènement de la sixième ère ombrale que, en procédant par élimination, les érudits ont été capables de déclarer avec certitude que le fléau élémentaire qui donna naissance à la première ère ombrale était en effet connecté d’une certaine manière avec l'élément du vent – potentiellement sous forme de terribles tornades, de tempêtes ou d’ouragan. Les échanges récents avec les mogs  célestes et leur ancien , qui raconte l’existence d’un désastre apporté par le vent ayant précédé les cinq premiers fléaux ont permis de renforcer cette théorie.[1]

Première Ère Astrale

Première Ère Astrale - Une période de Pierre et de Feu

On pense que c’est durant la première ère Astrale que l’humanité a appris l’essentiel de la survie – la capacité à tailler des outils de pierre et à faire du feu. Ces outils ont permis la naissance de l’agriculture, la chasse et la cueillette, résultant dans l’abandon de la vie nomade au profit de l’établissement dans des villages et des villes. A l'intérieur de ces villes, les civilisations se sont épanouies et les sciences rudimentaires sont apparues comme le dressage des bêtes et la métallurgie. Petit à petit, la croissance des villes força les corps dirigeants à former des royaumes. Mais comme bien souvent, les rois sont rarement satisfaits de ce qu’ils ont. Bientôt, les dirigeants des pays nouvellement formés décidèrent d’abandonner la création d’outils au profit de celle des armes pour sombrer dans une nouvelle ère sanglante.

Les historiens pensent que l’humanité n’a pas fait grand chose de ce que leur fournissait la nature. Des peinture dans des grottes datant de la première ère Astrale suggèrent l’existence de centaines d’espèces aujourd’hui disparues, allant du bison à deux têtes jusqu’au coeurl écaillé aillé pouvant atteindre des milliers de yalms de haut.[1]

Deuxième Ère Ombrale- Le Fléau de Foudre

Malgré les guerres constantes menées par les rois cherchant à étendre leurs domaines, l’humanité a prospéré, son nombre se multipliant chaque été qui passait. Pour loger et nourrir la population, les forêts ont été abattues et les champs plantés. Pour forger leurs outils et leurs armes, les montagnes ont été éviscérées et les cieux noircis. Pendant d’innombrables années, la nature à subi cette dégradation gratuite des terres jusqu'à ce que finalement la balance penche. Des montagnes de feu crachaient des nuages tâchés d’encre qui couvraient le ciel et plongent le royaume dans les ténèbres éternelles.  Du ciel, tombait une pluie incessante de coups de tonnerres qui rasaient les champs, faisaient bouillir les lacs et fendaient les murs même de puissantes fortifications. Pendants douze lunes et un jour, la fureur de la nature résonna.

Craignant que les dieux aient l’intention de purger la terre de l’humanité une fois pour toutes, les gens ont abandonné leurs maisons et leurs villes et ont fui sous terre dans des grottes. Mais ce n’était pas le salut qui les attendait ici, mais la mort, car les grottes deviennent le terrain fertile de la propagation des maladies et de la peste. Tandis que les gens restaient coincés dans l’obscurité, regardant leurs familles connaître une fin lente et douloureuse, ils concentrent leurs efforts sur le seul chemin qui leur restait : la prière. Les théologiens pensent que c’est ce mélange de désespoir et de prière ciblée qui a donné naissance aux toutes premières incantations magiques.

Désormais pleinement consciente de la colère sans limites de la terre, l’humanité s’est tournée vers les cieux pour trouver de la force. Grâce à la prière, les habitants d'Éorzéa ont découvert que, cachée au plus profond des mots, se cache une magie qui, lorsqu’elle est alimentée par la foi, peut donner du pouvoir. [2]

Deuxième Ère Astrale - La foi Divine

Ainsi, grâce à la magie primitive, l’humanité a survécu jusqu’à ce que les cieux se séparent - ceux qui maîtrisaient ces techniques ésotériques accédaient à des positions de pouvoir au sein des communautés. Le peuple était attiré par ces dirigeants charismatiques qui attribuent la chute de l’ère précédente aux rois infidèles et à leur avarice inextinguible. Ils affirmaient que ce n’est que par la foi et la prière qu’ils pourraient être sauvés d’un sort similaire, et c’est ainsi que sont nées les premières religions organisées.

En quelques années seulement, des royaumes en formation depuis des siècles ont été remplacés par des théocraties peuplées d’hommes et de femmes désireux de prouver leur valeur aux dieux, afin que les êtres divins puissent les épargner de la colère de la terre. Les dirigeants de l'Église ont convaincu le peuple que grâce à la construction de temples massifs, de monuments et d’effigies, ils parviendraient à la paix et au salut. Pour orner ces constructions afin que les dieux leur sourient, les peuples perfectionnent les arts de la peinture et de l’orfèvrerie. Pour protéger ces constructions de ceux qui défieraient les dieux, ils résolvent l'énigme de l’acier. Pour mieux profiter de la lumière des dieux, l’humanité s’est élevée vers les cieux.

La construction commandée par l’Eglise inclut d’innombrables cathédrales, temples et sépulcres au cours de la Seconde ère astrale et a vu l’avancement rapide de la maçonnerie en pierre, le mantra constant du “vers le ciel” poussant les premiers architectes à concevoir des techniques susceptibles de défier les lois mêmes de la nature[2].

Troisième Ère Ombrale- Le Fléau de Feu

La mort et la peur avaient donné aux églises un pouvoir absolu sur le royaume : cependant, le pouvoir absolu corrompt absolument. Bientôt, le désir d’un contrôle total a dressé les religions rivales les unes contre les autres, culminant avec l’avènement d’un âge très sombre prolongé de guerres saintes, de chasses aux sorcières et de purifications. Les villes sont brûlées, les enfants vendus comme esclaves, tandis que les hommes et les femmes meurent par milliers. Sans personne pour s'occuper des champs, les récoltes se sont desséchées, laissant mourir de faim les rares personnes qui n’étaient pas parties à la guerre. Les coffres des vainqueurs se sont gonflés du butin pris à leurs ennemis, mais il n’y avait nulle part où dépenser cette richesse nouvellement acquise. Le chemin de la reconstruction serait long, mais le peuple était convaincu que s’il gardait la foi, il se relèverait comme il l’avait fait une fois. A cette époque, cependant, les dieux s’étaient lassés de l’humanité - l’orgueil affiché par l’Eglise avait suffi à convaincre les cieux que le peuple d'Éorzéa devait, une fois de plus, être humilié.  Au cours des lunes suivantes, le soleil s’agrandit, brûlant la terre et privant la vie de toute création, qu’il s’agisse de plantes ou d’animaux. Les champs verdoyants et les forêts luxuriantes furent réduits à l’état de friches étouffées par la poussière, et les gens qui en dépendaient pour leur subsistance furent frappés par la famine. Le fléau du feu s'abattit sur eux. [2]

Troisième Ère Astrale - La naissance d'un empire

Les communautés qui ont émergé après le Fléau du Feu, tout en craignant les dieux, se méfient de les placer à nouveau au centre de leur société. La quête du divin ayant suscité la colère des cieux, l’humanité a choisi d'établir une distance entre elles et les dieux afin d’éviter de subir le même sort. C’est ainsi que la société a commencé à se concentrer sur les talents individuels de ses membres. La foi dans les dieux cède la place à la foi dans l’être humain. Renforcée de cette confiance retrouvée, l’humanité a commencé à produire certains des plus grands esprits de l’histoire. Chaque jour, de nouvelles découvertes scientifiques et technologiques sont faites. La civilisation progresse à un rythme  inégalé au cours de deux ères astrales précédentes, et au premier rang se tenait un homme qui verrait cette civilisation s’étendre jusqu’aux confins d'Hydaelyn-Xande.

Considéré par beaucoup comme un génie à part entière, le très ambitieux Xande utilisa son intelligence et son charisme pour bâtir une nation qui, tout en étant fondée sur la science, ne reniait pas la magie de la Seconde Ère Astrale. Les quelques descendants des prêtres et des sorcières de la Seconde Ère astrale furent accueillis et reçurent des lieux où ils pourraient perfectionner leurs compétences et les utiliser pour le bien du peuple. Au fur et à mesure que Xande découvrait le potentiel de la magie, il affecta un grand nombre de ces mages à sa nouvelle armée, où leur force inégalée sur le champ de bataille permit au jeune chef de subjuguer les terres voisines avec des pertes Allagoises minimes. En moins d’un an, Allag est devenu la plus grande nation d'Éorzéa et Xande s’est couronné empereur.

A sa mort, l’empereur Xande fut inhumé dans un tombeau construit dans une caverne cristalline située à Mor Dhona, le motif étant que l’on pensait que les niveaux concentrés d’éther pur pourraient réparer la chair corrompue et restaurer l’âme de Xande dans son nouveau corps. Les conséquences réelles furent tout à fait différentes. [3]

Quatrième Ère Ombrale- Le Fléau de Terre

[a compléter]

Quatrième Ère Astrale - La Chute de la Civilisation

D'après les informations - essentiellement basées sur la tradition orale - qui subsistent de l'ancienne quatrième ère astrale, la chute de la civilisation a été imputée à la soif de connaissance de l'homme. Le peuple considérait que les réponses aux mystères de la vie devaient être laissées aux dieux. La quête de ce qui échappe à la connaissance de l'homme était considérée comme un péché, et c'est cette convoitise qui a été à l'origine de sa destruction. Un rejet généralisé de toute forme d'enseignement supérieur s'est mis en place. Les livres furent brûlés et les parents s'abstinrent d'enseigner les lettres à leurs enfants. Les technologies Allagoises qui avaient survécu furent détruites, les bâtiments renversés ou enterrés, et les savants - les rares qui restaient - furent exilés ou même tués. La civilisation fit un grand bond en arrière, jusqu'à une époque qui n'était pas sans rappeler la Seconde Ère Astrale. Le pendule avait basculé, et la soif de connaissance qui avait marqué toute une époque fut rapidement remplacée par une peur inébranlable des cieux. Les histoires de l'Empire d’Allag ont survécu à la civilisation déchue a été réduite à un simple appareil, qui a été utilisé pour donner des leçons sur le péché d'orgueil. (Lore book I p029)

Pendant environ mille cinq cents ans - un nombre longtemps spéculé, mais récemment confirmé avec la découverte d'un nœud d'expulsion opérationnel à Azys Lla situant l'abandon du complexe de recherche flottant il y a cinq mille ans - la guerre silencieuse contre la connaissance s'est poursuivie, l'Église manipulant quelles connaissances (s’il y en à) ont été transmises aux masses. Les chefs religieux sont même allés jusqu'à introduire un nouvel alphabet pour leurs saintes écritures, enseigné uniquement aux hommes et aux femmes en étoffe, afin de consolider leur contrôle sur le royaume grâce à l'analphabétisme persistant du peuple. Il est donc ironique que cet alphabet destiné aux privilégiés finisse par évoluer vers l’écriture éorzéenne utilisée aujourd’hui dans tout le royaume. (Lore book I p029)

Cinquième Ère Ombrale- Le Fléau de glace

[a compléter]

Cinquième Ère Astrale - Les fondations de la magie

Il y a environ 2300 ans [4]

[a compléter]

Sixième Ère Ombrale- Le Fléau de l'eau

[a compléter]

Sixième Ère Astrale - Prospérité et Progrès

[a compléter]

Septième Ère Ombrale

[a compléter]

Septième Ère Astrale

[a compléter]

Sources

  1. 1,0 et 1,1 Encyclopedia Eorzea I - p022
  2. 2,0 2,1 et 2,2 EE I - P023
  3. Lore book I p024
  4. Quête BLM lvl 63 - Golem Gone Wild