Feux de la mort
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Le petit silex déclenche le plus grand des incendies[1]
Il ne faut jamais prendre un pirate au mot. Ils sont du genre à exagerer leurs propos, surtout ceux des eaux Limséénnes. Quelque chose dans l'esprit des pirates les pousse à revendiquer la plus grande fanfaronnade, aussi improbable ou incroyable soit-elle. Il ne fait aucun doute qu'ils jureraient tous devant Llymlaen elle-même d'avoir vu un serpent de mer aussi long qu'un galion, ou une tempête éblouissante d'étoile filante qui éclairent la nuit comme le jour. Depuis toujours, ces âmes des mers racontent librement les mensonges les plus grandioses les uns que les autres à chaque fois qu'elles en ont l'occasion, tout aussi naturellement qu'elles hissent leur voiles ou rament avec leur pagaies. Mais ce n'est pas toujours le cas, comme je l'ai récemment découvert...
Permettez moi de partager avec vous une certaine histoire des terres du Coerthas, racontée par un pirate gagnant sa vie sur l'Opaline en vendant son butin. Les mots qui suivent sont les siens, non retouchés par ma propre plume.
"Ahoy, c'te fichu météore s'est écrasé juste là, à la lisière du Nid d'la Chouette, ouaip'. 'Vant même que je ne sache quoi, une bombe plus grosse qu'un bouquetin est apparue au même endroit. 'R'gardé de mes prop' yeux comment elle a commencé à manger tout s'qui l'encourrait, d'venant de plus en plus grosse. 'A finallement fait sont ch'min jusqu'aux portes d'Ishgard, ouaip'. Bwahaha, je parie que ces super mignon ch'valiers tout prop' rotissant dans leur armure on fait un bien bon repas ! Dites moi le contraire ! Bwahah- Hm ? Quoi d'aut' vous dites ? Pas grand chose. J'ai entendu dire qu'à Ishgard on appelait ces trucs les Bombardos, mais c'est tout c'que je sais. Les Douze me tuent si j'mens."