Danseurs (Job)
Les danseurs font partie d'une troupe de saltimbanques originaire de l'île de Thavnair au Proche-Orient.
Leur art, appelé "Kriegstanz", est célèbre pour sa grâce et ses mouvements envoûtants, mais se révèle également être une redoutable technique de guerre. Leurs danses ont le pouvoir de toucher l'âme de ceux qui les regardent, et d'apaiser les sentiments négatifs qui se terrent au plus profond de ces derniers.
Pour assurer leur propre sécurité pendant leurs tournées, les danseurs sont passés maîtres en autodéfense, discipline à laquelle ils s'entraînent sans relâche. Ces derniers sont particulièrement doués avec les armes de jet et manient brillamment l'éventail.[1]
Histoire
Originaire des contrées du Proche-Orient, sur l'île de Thavnair, les danseurs pratiquent un art ancestral basée sur des danses de guerres. Transmises de meneur en meneur de troupes d'artistes, cet art est surnommé la "Kriegstanz". Célèbre pour l'aspect gracieux et envoûteur de ses danses de guerre, elle peut être pratiquée pour se battre face à diverses menaces.
Aujourd'hui, cet art martial, aussi fascinant que puissant, subsiste par la présence d'une troupe de saltimbanques, originaire de Thavnair. La troupe de Falsiam, qui parcourent les terres d'Éorzéa et bien d'autres encore, dans le but d'apaiser les esprits des gens, après les derniers événements provoqués par le 7e fléau, ou le conflit avec Garlemald.
Les danseurs
Lorsque l'on veut devenir un danseur, il est pratique de connaître les bases de la danse et l'art de la scène pour concrétiser une base solide dans cette discipline. Par les diverses raisons possibles qui vous mène à l'apprentissage de cet art, un cristal d'âme vous est donné, renfermant les connaissances nécessaires pour maîtriser la Kriegstanz.
En ne faisant que danser pour recevoir des compliments, peu importe les nombre d'années d'entrainement ou en apprenant des mouvements de danse par cœur, si le principe des danseurs n'est pas respecté, la plupart des artistes resteront de simples débutants.
Étant aussi des combattants, les danseurs se servent d'armes de jets, tel que les chakrams ou des éventails de combat pour se protéger de tout ennemi qui voudrait s'opposer à eux, tout en interprétant leur chorégraphie.
Bien que la plupart des chorégraphies martiales soient principalement d'origine thavnairoise, les danses interprétés peuvent s'inspirer de divers types de stylistiques, n'en ayant pas forcément un défini. Les différents pas de la Kriegstanz telle que nous la connaissons aujourd’hui ont été inventés par Kadjaya. Mais ses influences viennent en réalité de nombreux pays lointains. Toutes ces influences ne sont pas connues, mais les pas de danse de salon des Elezen d”Aldenard y figurent en bonne place. En effet, les termes tels que “entrechat” et “emboîte” sont clairement issus de l’ancienne langue Elezenne.[2]
Kriegstanz et Totentanz
Cette discipline n'est pas simplement une pratique physique, une dimension magique assez particulière existe. Le danseur cherche à redonner espoir aux spectateurs afin de faire disparaître les sentiments négatifs qui les rongent, tel que leurs peurs ou leurs craintes. Lorsque les courants éthérés se servent de ses sentiments négatifs en s'entremêlant, les individus peuvent être affecté par une corruption. On nomme Totentanz, la danse macabre, ce phénomène de corruption lorsqu'il devient trop important et fait perdre l'esprit à ceux qui le vivent.
Une des principales missions du danseur est d'éradiquer ce phénomène. Quand le cœur des humains s'emplit d'angoisse à cause de guerres ou de catastrophes naturelles, il peut arriver que ces émotions deviennent trop fortes pour être contenues.
Lorsque les peurs et les craintes des gens sont à leur paroxysme, les sentiments noirs qui sommeillent au plus profond de leur âme se mêlent aux courants terrestres et aériens de l'éther environnant et se propagent rapidement. Ceux touchés par ces ténèbres finissent par perdre la raison, danser de façon frénétique, et agir selon leurs plus noirs désirs.
Sources
- ↑ Sites des jobs - Le Danseur
- ↑ EE III P 233