Guerriers (Job)
Histoire
Le seul texte connu au sujet de l'histoire et les techniques du guerrier aurait été écrit il y a plus de cinq siècles (environ pré-11e siècle, durant la sixième ère astrale). Aucune connaissance des guerriers de cette époque n'a jamais été découverte - la véritable origine de ce style de combat de ces clans étant dissimulée sous la poussière des siècles passés.
A l'époque des conflits de la Guerre des Érables, les tribus des montagnes d'Abalathia qui se battaient avec une férocité incontrôlée telles des bêtes sauvages étaient très appréciées dans le mercenariat et la guerre. Mais malgré les nombreuses victoires remportées par les guerriers sur les champs de bataille, leur gloire était souvent ternie par des récits de berserkers, où des guerriers étaient décris comme des barbares massacrant aussi bien des alliés que des ennemis.
Alors que les hostilités entre les nations s'apaisaient progressivement, la présence d'un guerrier dans ses rangs était quelque chose de mal vu. Et bien, que l'on dise que certains vestiges survivent à travers un clan éloigné dans l'épine d'Abalathia, l'art du guerrier a maintenant presque disparu du monde.
Aujourd'hui, dans la partie nord des montagnes d'Abalathia, il ne reste que quelques tribus montagnardes, composées essentiellement de roegadyns du clan du feu, réputée pour leurs redoutables combattants. Connus sous le nom de guerriers, ces hommes et ces femmes qui brandissent leurs énormes haches apprennent à maîtriser la bête qui est en eux et à traduire cette puissance en une force sauvage effréné sur le champ de bataille.
Plus récemment, le Maëlstrom a crée une unité spéciale au sein de son armée, composée exclusivement de guerriers, à l'image de leurs ancêtres, dirigée par deux frères roegadyns, originaire de cette tribu des montagnes d'Abalathia, qui enseigne leurs savoirs à ceux qui en ont la volonté et à l'armée du Maelström, les pratiques de cet art martial.
Les guerriers et la bête intérieure
Lorsque l'on veut devenir un guerrier, il est conseillé de connaître le maniement de la hache. La guilde des maraudeurs permet concrétiser une base solide dans son apprentissage.
Le pouvoir de la bête intérieure fait partie intégrante du guerrier, tout le monde est capable d'avoir une bête intérieure, du moment qu'elle sait être dominée. Elle représente l'instinct animal qui sommeille en chacun de nous, il est donc nécessaire de savoir la dompter pour ne pas risquer d'en perd le contrôle. Bien souvent, les plus jeunes guerriers, en cours d'apprentissage, se laissent dominer par leur bête, par manque d'expérience et d'entraînement.
Les techniques de guerrier peuvent être d'une grande variété, certaines ont pour but de déséquilibrer son adversaire, de percer la défense de ses ennemis, provoquer, ou déchaîner une force brutale à tout ceux qui osent s'approcher. Selon les légendes, un certain Mythril Heart était capable de combattre avec sa bête intérieure par la seule force de ses poings. Il reste toujours quelques traces littéraires sur l'histoire et les techniques accumulées par les tribus guerrières, cependant la plupart d'entre elles sont bien souvent complexes à déchiffrer. Le "Tome ancien" fait partie d'un de ses ouvrages, mais essayer de le comprendre n'est pas une tâche aisée.
La bête intérieure d'un guerrier est la source de sa force - la furie hargneuse par laquelle toutes ses techniques sont alimentées. En stimulant cette instinct bestiale, le guerrier devient capable de prouesses incroyables qui dépassent l'entendement. Cependant, lorsqu'elle est réveillée par quelqu'un qui n'est pas habitué à sa sauvagerie, la bête prend le dessus et conduit le guerrier dans un déchaînement de violence incontrôlée, alors Il faut rapidement faire en sorte de calmer cette fureur avant que la bête ne prenne complétement le dessus sur l'esprit du combattant. La volonté de vouloir protéger les autres du danger et de défendre les plus faibles est ce qui représente la stabilité de la bête intérieure.
Lorsqu'un guerrier est confronté à un adversaire qui le pousse à dépasser ses limites physiques et mentales, il est amené atteindre la maîtrise de nouvelles techniques.
Depuis d'innombrables générations, le cristal d'âme dans lequel sont enregistrés les faits et gestes de milliers de guerriers qui l'ont imprégnés, est transmis dans les tribus guerrières. Il a pour rôle des guider et aider le nouveaux guerriers dans leur apprentissage. Lorsque leur bête intérieure s'éveille, les runes du cristal s'illuminent et résonnent, en renforçant leur volonté, et leur accordant une force herculéenne.
Leur équipement
Traditionnellement, pour faciliter cette libération de la soif de rage, l'armure du guerrier est ensorcelée - marquée à l'intérieur d'un sceau de sang prélevé sur ses victimes et enchanté par des moyens connus seulement des chamans des tribus de guerriers.
L'armure elle-même est généralement fabriquée avec deux matériaux auxquels les tribus attribuent une signification profonde et ésotérique : le fer météorique forgé sur la lave et les peaux d'animaux sauvages. Ils pensent que la lave et le fer sont imprégnés de la force vitale d'Hydaelyn, et donc capables d'augmenter la vitalité lorsqu'ils sont portés sur soi.
Tandis que les peaux sont incorporées, non seulement en signe de respect pour les vies prises, mais aussi pour renforcer la capacité d'un guerrier à puiser dans la bête intérieure. L'armure d'un guerrier est donc inséparable de la culture qui a donné naissance à son art.
Bien que la plupart des guerriers préfèrent les casques équipée d'une visière, quelques uns préfèrent utiliser cette visière uniquement, elle empêche les autres combattants de savoir si le guerrier utilise sa bête, en plus de protéger ses yeux.
L'armure corporelle d'un guerrier est nettement moins développée que les armures de plaque préférée à Ul'dah ou Ishgard, avec un plastron métallique doublé de cuir comme principal élément défensif, elle s'inspire davantage aux cuirasses et aux loricae (armure 70 WAR e.g.) du passé qu'à celle de nos jours.
Si les gantelets d'un guerrier protègent bien sûr les mains et les bras des entailles, ils sont également conçus pour être des armes à part entière. À cette fin, certains sont équipés de lames, de pointes ou même de longues chaînes.
Tout ceci, constituant un ensemble solide, permettant d'encaisser des coups, mais aussi d'une grande liberté de mouvement sans laquelle, il leur serait compliqué manier leur hache de manière aussi vive, puissante et destructrice.
Le cas de la tribu Qerel
Pendant longtemps on pensait que les Guerriers étaient typiques d'Abalathia et des villages de roegadyn du clan du feu. L'arrivée récente des Ao Ra en Éorzéa a montré des exemples de Xaela possédant des aptitudes similaires à celles des guerriers (utilisation de la bête intérieure). La Tribu des Qerel est majoritairement constituée de braves guerriers, mais il arrive malheureusement que l'un d'eux soit victime de ce qu'ils appellent une "malédiction". D'après leur us et coutume, il s'agirait d'esprits maléfiques qui rendrait le guerrier fou de rage et de colère, ce qui conduirait irrémédiablement à l'exile du maudit, se retrouvant à errer dans les steppes, ou dans tout Hydaelyn. Celles et ceux qui se sont retrouvés dans cette situation ont été exilé des Qerels, errant dans les steppes et ailleurs tout seul, certains d'entre eux se sont regroupés formant les Chagann, prenant la bête comme une bénédiction de la divinité de Nhaama.
Mais depuis leur rencontre avec les instructeurs de l'escouade spécialisée du Maelström, cette image maléfique de la bête s'est assouplie.
Sources
- Site promotionnel FINAL FANTASY XIV A REALM REBORN - Le Guerrier
- Site des jobs - Le Guerrier
- Les Quêtes du Guerrier (Lorefinder)
- Lorebook I - Le Guerrier (p. 217, p. 222-223)
- Lorebook II - Les armures de Guerrier (p. 223)