Arcanistes (Classe)

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L'Arcanisme

Il s'agit d'une forme d’art arcanique utilisant des calculs ésotériques. L’arcanisme fut développé à l’origine par des habitants des îles des mers du sud avant d'être importé en Éorzéa lors des migrations des lalafells. Après avoir découvert un moyen d’exprimer les phénomènes naturels en des formules mathématiques, ils affinèrent leurs formules en géométries arcaniques, permettant de tisser l’éther pour des applications magiques spécifiques. Ainsi est née l’école de l’arcanisme.

Thubyrgeim :

"De manière simple, on peut définir l'arcanisme comme une discipline de la magie basée sur l'arithmétique, une science qui est apparue et s'est développée dans les îles méridionales.

Nous cherchons à expliquer le mystère de la nature que son l'éther et ses diverses expressions par des formules mathématiques… Autrement dit, notre approche et purement logique.

Pour se faire, nous faisons appel à des pentacles, des figures géométriques qui représentent les aspects les plus secrets de la magie, c'est à dire les arcanes, sous la forme de lignes et de points.

D'ailleurs c'est dans notre étude des phénomènes mystérieux, nous avons mis au point un sort qui nous permet d'invoquer la créature éthérée qu'on appelle Carbuncle. Il s'agit là de l'expression la plus puissante de notre pouvoir, à nous autres arcanistes."

"[...] Comme on te l'a déjà expliqué, notre discipline fait appel à des pentacles pour canaliser l'énergie de nos corps et utiliser la magie, notamment en faisant appel à une créature éthérée du nom de Carbuncle."

"[...] Je tiens toutefois à souligner le fait que l'arcanisme est avant tout une démarche intellectuelle consistant à chercher une solution rationnelle à chaque problème.

Un arcaniste doit donc être capable d'analyser une situation calmement, et choisir instantanément le sort qui lui paraît le plus adéquat."

Les codex et les grimoires

Les arcanistes utilisent des livres pour lancer des sortilèges.

Arcaniste anonyme : "Pour qu'un arcaniste puisse tisser ses sorts, il doit faire apparaître dans son esprit l'image de diagrammes mystiques distincts appelés géométries arcaniques. Ces géométries sont inscrites sur les pages d'un grimoire. L'aspect le plus important de tout grimoire est la qualité de l'encre utilisée pour illustrer ses pages. Les géométries dessinées avec une encre particulièrement conductrice du flux d'éther permettent à l'arcaniste de canaliser plus efficacement sa force magique."

On sait également que la couverture des livres des arcanistes peut parfois être remplacée par des matériaux conducteurs d'éther comme le mithril ou l'électrum. D'après certains professeurs de l'académie de magie de Sharlayan, l'objectif est de laisser l'éther circuler plus rapidement entre les pages.

Certains mages de combat expliquent que recouvrir le contenu de leur livre par du bois plutôt que du cuir permet de mieux s'adapter aux lois de la nature, permettant ainsi d'améliorer l'efficacité de la transformation de l'éther en sortilège. Il est difficile de savoir quel bois est le plus efficace cependant.

Le Carbuncle

En utilisant des symboles géométriques pour donner forme à une créature éthérée, certains mages peuvent déverrouiller le pouvoir potentiel de certaines gemmes : il s'agit d'un pouvoir pouvant servir lors de l'invocation d'êtres éthérés connus sous le nom de Carbuncles. Les caractéristiques de ces familiers diffèrent selon la pierre utilisée pour leur création, l'émeraude et le topaze étant les plus connues, ainsi que le rubis et le diamant.

Le Carbuncle est un familier obéissant à la volonté du mage l'ayant invoqué. Mais une mauvaise maîtrise des arcanes peut mener à une créature inutile, comme en témoignent les mésaventures de Tataru.

L'arcanisme ancestral des îles méridionales considérait les joyaux comme des objets à mi-chemin entre le vivant et l'inanimé. Voilà pourquoi ils servent de cœur aux familiers qui en sont presque systématiquement pourvus. D'ailleurs, en réfléchissant bien, on peut très bien traiter le bois en tant que matière entre l'animé et l'inanimé. Avant que l'usage des joyaux ne se répande, le bois était donc na­tu­rel­le­ment un choix privilégié dans la confection de familiers.[1]

Sources

  1. île D'aloalo, entrée N°1