Limsa lominsa

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Vylbrand s’élève au dessus des vagues de la mer de Rhotano et, au pied des falaises antiques de sa côte sud, s’élève la cité-État maritime de Limsa Lominsa. Spectacle aussi splendide que merveilleux, la ville perchée repose sur des pilotis de roche et de récif qui s’étendent dans la baie. Les habitants traversent ces quartiers reliés par de longs ponts, prospérant ainsi au-dessus des flots.[1]

Vue depuis la mer, l’architecture limséenne est d’une beauté et d’une élégance à couper le souffle et les bardes y ayant voyagé la surnommèrent « le Voile de Llymlaen », en référence à la déesse de la navigation vénérée dans la ville. Ses industries les plus florissantes sont la pêche, la construction navale, la métallurgie et le trafic maritime.

L’Amirale, leader choisi parmi les citoyens, dirige une formidable armada. Bien que la ville maîtrise la quasi-totalité des mers éorzéennes, les continuelles exactions des pirates sont une injure à la puissance limséenne.[2]

tour d'horizon

Drapeau Limsa Lominsa

Drapeau

La bannière de Limsa Lominsa arbore un drakkar pirate d’obsidienne, rappelant les fondateurs de la cité : les féroces Loups de Mer[3], d'anciens pirates Roegadyns du Clan de la Mer, jadis la terreur des mers du nord. Rien d’étonnant, donc, à ce que le rouge du drapeau symbolise le sang versé des compagnons perdus et reflète l’histoire sauvage et sanglante de la cité-État.[1]

Devise

"Jusqu'à ce que la mer nous engloutisse tous."[1]

Gouvernement

Les Limséens choisissent leur chef lors du Trident, une compétition qui a lieu tous les sept ans. Les équipages pirates les plus puissants participent à cette course à plusieurs volets, et le premier à franchir la ligne d'arrivée devient amiral, à la tête de la cité-État maritime. Dotés de pouvoirs considérables, les nouveaux amiraux modifient souvent radicalement les politiques existantes et ainsi transforment le cours de la cité.[1]

Gouvernant

Amirale Merlwyb Bloefhiswyn.[1]

Corps dirigeant

Un groupe de conseillers, nommé par l’Amirale, gère les affaires quotidiennes de la thalassocratie.[1]

Répartition raciale

  • Roegadyn du Clan de la mer : 40 %
  • Lalafell du peuple des plaines: 20 %
  • Hyur : 10 %
  • Miqo’te Solaire : 20 %
  • Autre : 10 %

Religion

Comme on peut s'y attendre pour une Cité-État maritime, les Limséens vénèrent Llymlaen, gardienne des mers et déesse de la navigation. Les plus croyants font des pèlerinages à la pierre de Llymlaen avant de mettre les voiles, et après être rentrés sains et saufs de leur voyage en mer.

Le culte de Llymlaen reposant sur un ensemble de croyances et de coutumes locales, il n'est pas considéré comme une religion formelle. En effet, la Navigatrice n'a ni temples ni clergé à son nom dans la Cité-Etat, à l'exception de quelques autels surplombant les mers infinies. Chacun pratique donc sa foi dans son foyer, par la prière et le rituel.[1]

Guildes

Limsa Lominsa abrite les guildes des maraudeurs, arcanistes, Surineurs, forgerons, armuriers, cuisiniers et pêcheurs.[1]

Industries

Piraterie

De nos jours, la piraterie en tant que telle est interdite. L'activité de corsaire en revanche, est autorisé, à condition que les cibles et le butin soient d'origine garlemaldaise.[1]

Pêche

Les pêcheurs Limséens se regroupent en de nombreuses associations informelles de férus de la discipline et gagnent leur vie en lançant leurs lignes du haut des falaises côtières et en pêchant au chalut en haute mer.[1]

Construction navale

Qu’il s’agisse de puissants navires de guerre ou de simples barques de pêche, les chantiers navals de Limsa Lominsa sont sans égal sur tout le continent, comme le proclament fièrement les Limséens.[1]

Métallurgie

L’art du travail du métal, né parallèlement à la construction navale, a prospéré grâce aux échanges avec les kobolds, eux-mêmes maîtres dans ce domaine.[1]

Maritime

La connaissance des Limséens en navigation et construction navale a naturellement fait fleurir une industrie du transport maritime. De nombreux navires marchands transitent chaque jour par le port.[1]

Agriculture

Une initiative de colonisation a permis de réaliser de grands progrès en offrant un moyen de subsistance honnête aux retraités de la flibusterie, qui cultivent principalement des oranges, du raisin et du blé.[1]

Croyances

Fondée par des réfugiés fuyant la persécution royale, Limsa Lominsa continue de percevoir ses lois plus comme des directives que comme des règles strictes. Qu'ils soient pirates ou pêcheurs, ses citoyens restent loyaux à leur cité-État avant tout, mais l’esprit de liberté qui y règne peut parfois passer pour de la brutalité aux yeux des autres nations d’Éorzéa.[1]

Flet de Moraby - Platichthys moribius: La légende raconte qu'Oschon le Vagabond aurait malencontreusement écrasé ce poisson de rivière. La déesse Llymlaen, prenant pitié du malheureux animal, l'aurait ressuscité en tant que poisson de mer, en lui laissant son apparence aplatie.

Legende de Syldra: Un hippocampe légendaire inspiré d'un dragon de mer mythique qui aurait aidé son amie, une femme pirate, en tirant son bateau.

Cocoquillage - Tridacna crocea : Ce bivalve serait capable de fermer sa coquille si puissamment qu'on raconte qu'un marin ayant le pied coincé dans un cocoquillage serait mort à la venue de la marée haute. En réalité, il est incapable de se refermer rapidement.

Marimo luisante - Aegagropila luceus (aussi présent dans d'autres région que la Noscea) : Nul ne sait pourquoi cette algue sphérique émet de la lumière; certains y voient une manifestation des âmes des morts revenues dans le monde des vivants

Poisson flan : Condamné par les Douze à vivre avec une tête aussi laide que celle d'un Roegadyn complètement ivre, ce poisson a choisi de vivre caché dans des eaux souterraines où la lumière ne parvient jamais.

Sardine Sélénite - Sardina lunaris : Ce poisson à l'activité nocturne reflète la lumière de la lune lorsqu'il nage près de la surface. On raconte qu'il a reçu la grâce de la déesse Menphina.

Cocoquillage géant - Tridacna maxima : Injustement considérés comme des “mangeurs d'hommes”, ces énormes bivalves ont quasiment tous été éliminés par les autorités limséennes après qu'un pêcheur (ivre mort) a déclaré avoir vu un enfant se faire dévorer sous ses yeux.

Corail rouge -Corallium rubrum : Ce corail rouge comme le sang est vu comme un symbole de vie dans de nombreuses cultures éorzéennes. Il est populaire comme cadeau de naissance dans les bourgades noscéennes.

Marlin de Mazlaya - Tetrapturus mazlayanus : Ce grand poisson est très rapide et toujours en mouvement. La légende raconte qu'il aurait autrefois surpris Llymlaen dans son bain. Furieuse, elle lui aurait jeté un sort qui le ferait mourir s'il s'arrête.

Carpe d'Agelyss - Agelyssus carpio : Espèce endémique, la carpe d'Agelyss est rare. On raconte que ceux qui ont la chance de l'apercevoir sauter hors de l'eau auront trois jours de bonne fortune.

Mégalodon - Carcharodon megalodon : Ce requin a la réputation d'être un redoutable mangeur d'hommes. On raconte que même le Roi des mers du Nord, connu pour son grand courage, aurait perdu un bras en l'affrontant.

Thazard noir - Acanthocybium solandri : Un grand poisson de mer aux dents aiguisées, amateur de crustacés. Sa chair a mauvais goût, mais on raconte qu'il rend fort, aussi entre-t-elle dans la composition de certains remèdes.

Poisson-Lune - Mola mola : Ce poisson rare s'approche parfois des berges. On raconte qu'il viendrait parfois en aide aux naufragés, aussi est-il très aimé des marins.

Main du timonier : Alors qu'elle cherchait à relier vers le nouveau continent à l'ouest, l'amirale Bloefhiswyn aurait trouvé une voie maritime en suivant ce poisson-lune, ce qui lui vaut désormais ce nom.[4]

Papillon d'Or: Dans certaines eaux il existe un poisson qui brille comme l'or lorsqu'il est exposé à la lumière. On raconte que cette vision a causé la perte de bien des pirates tombés à l'eau en tentant de l'attraper.

Sabre de Llymlaen : On dit que la Déesse Llymlaen, observée par Oschon alors qu'elle prenait son bain, lui aurait jeté cette épée. Dépité, Oschon se serait ensuite intéressé à la Déesse Menphina

Anableps - Anableps anableps : Les yeux de ce poisson sont doubles et lui permettent de voir au-dessus et en dessous de lui en même temps. Une rumeur laissa jadis entendre que sa chair était bonne pour la vue, ce qui lui valut une popularité de courte durée malgré sa chair peu goûteuse

Saumon Indigo - Salmo caeruleus : Ce poisson anadrome naît en rivière et vit normalement dans l'océan Indigo, mais il remonte le courant jusqu'à sa rivière natale pour s'y reproduire et mourir. C'est un symbole du cycle de la vie.

Carpe Dragon - Cyprinus draconis : Une légende raconte que lorsque les dragons créèrent les êtres vivants à partir de leur sang, une goutte tomba dans la rivière et devint cette carpe. Cette espèce aurait la faculté de nager dans les cascades à contre-courant, telle un dragon dans les airs.

Anguille bronze : Beaucoup confondent son corps brun long et effilé avec un outil en métal qui aurait été oublié au fond de l'eau. On raconte que c'est l'arme d'un lancier déchu qui aurait pris vie après avoir été jetée dans le lac.

Tétra opalin : Un poisson dont les écailles aux reflets multicolores rappellent l'aspect translucide et iridescent de l'opale, si bien qu'on l'appelle parfois “joyau à nageoires”. On dit qu'il peut apaiser le corps et l'âme de la personne qui le contemple dans l'eau. Il est donc très apprécié des possesseurs d'aquarium.

Boyau du tonnerre : On raconte que ce grondin dévorerait les éclairs, étant la raison même pour laquelle il n'y a jamais d'orages dans la Noscea extérieure, une région où la pluie tombe pourtant souvent.

Barbe palpitante : La légende veut que le célèbre pirate Barbe-Brume ait donné le corps de ses nombreux ennemis en pâture à ce céphalopode pour ensuite l'utiliser comme chien de garde là où il cachait son trésor.

Gastronomie

Naturellement, la cuisine limséenne met à profit l’abondance de poissons et fruits de mer. La cité-État est prisée des gourmets : les épices venues d’ailleurs enrichissent les tables, et les recettes sont légion. Les alcools Limséens, conçus pour tenir lors des longs voyages, sont célèbres – notamment les bières et les vins produits en grande quantité à partir du blé et du raisin locaux.[1]

Omelette aux œufs d'apkallu: Des Oeufs d’apkallu battus, cuits au beurre et nappés d’une sauce relevée. Un plat traditionnel de la Noscea.

Palourde de Vongola - Venerupis bianaquensis: Un bivalve connu pour le goût délicieux de sa chair. Elle est utilisée dans de nombreuses recettes de cuisine familiale dans les régions littorales.

Carpe de l'Opaline - Opalus carpio: Ce poisson omnivore est très facile à pêcher, ce qui le rend populaire chez les pêcheurs débutants. Il est de plus délicieux une fois grillé sur le feu et salé.

Sole noire - Solea nigra: Ce poisson de forme aplatie doit son nom à un ancien mot signifiant “semelle”. Il est délicieux cuisiné avec une sauce aux cèpes.

Poisson globe - Tetraodon: Ce poisson redoutable possède un venin très toxique qui provoque le mutisme. Une légende populaire veut qu'une famille en ayant consommé accidentellement se retrouva frappée de mutisme et, ne pouvant plus communiquer, finit par se déchirer.

Huître de Rothlyt - Ostrea rothlyta : Cette variété d'huître doit son nom au golfe de Rothlyt, qui produit des spécimens réputés délicieux. Un simple filet de jus de citron suffit à rendre succulente une huître fraîche, d'après les fins gourmets.

Brème de Bianaq - Abramis brama bianaquensis: On raconte que ce poisson de mer doit sa couleur rosée aux crevettes basilic dont il se nourrit. Les spécimens pêchés près de l'île de Bianaq sont réputés pour leur chair exquise.

Le Hareng Portuaire est très frequemment consommé à Limsa Lominsa, son habitude à roder dans les eaux bordant les ports en faisant un posson facile à pecher - Carnet de peche

Concombre de mer - Cucumaria planci mazlayae : Son apparence rebute nombre de gens, mais les habitants de la mer de Jade et de l'île de Mazlaya les apprécient sous forme séchée.

Thon de la cendre - Thunnus cinnis: Un grand poisson à chair grasse dont les Miqo'tes sont friands. En Orient, il est souvent éviscéré et mangé sur place, immédiatement après avoir été pêché.

Homard des rochers - Homarinus thanalanicus : Un grand crustacé marin dont la chair est réputée pour son bon goût. Les gourmets débattent souvent passionnément de la meilleure façon de la préparer.

Murène Congre - Muraena congrinae : Ce poisson était considéré comme impropre à la consommation, et finissait jeté ou brûlé. Mais des cuisiniers tentent de le remettre en valeur ces dernières années, en mettant au point des recettes de murène.

Démon marin - Enteroctopus dofleini : Cette pieuvre est connue pour effrayer les plus braves des marins par son apparence rebutante. Sa chair serait en réalité délicieuse, même si rares sont ceux qui osent y goûter.

Grande truite d'airain : Une espèce de truite dont la couleur varie du vert profond au bronze. Elle est très prisée des pêcheurs, sa chair rougeâtre devenant plus savoureuse avec le rembrunissement de sa peau.

Histoire

La fondation de la cité

En l’an 874 de la Sixième ère astrale, le Galadion quitta les îles du nord à la recherche d’une nouvelle patrie. À son bord se trouvait une armada de marins qui, las de vivre sous la férule de tyrans, se rebellèrent contre leurs oppresseurs. Le navire, commandé par des membres des Loups de Mer déterminés, mirent le cap au sud, à la recherche d’une nouvelle demeure. Après une année de voyage semée d’épreuves, ils atteignirent la côte sud de Vylbrand, où il finit par s’échouer.

La Galadion embarquait deux timoniers Elezéens : Jean De Nevelle, un navigateur et l’aventurier Guy La Thagran. Chargés d’explorer l’intérieur de l’île, tous deux confirmèrent que la région était fertile. Sur ces terres, l’équipage a réalisé qu’il avait trouvé la maison qu’il cherchait. Sous la direction de l’amiral Elilwaen, chef de l'expédition, l’équipage construisit un petit village à l’intérieur des terres, ce qui fut bientôt surnommé La Noscea en l’honneur d’un deuxième marin qui mourut du scorbut deux jours seulement avant l’arrivée à terre.

Cependant, il devint rapidement évident que les hommes et les femmes de Galadion n’étaient pas seuls et avaient pénétré dans le domaine des Kobolds, une tribu d’hommes-bêtes ressemblant à des blaireaux. Après quelques escarmouches, l’équipage abandonna son village pour la relative sécurité du Galadion, qu’il avait laissé échoué sur la côte de La Noscea. A partir de leur navire, ils ont construit des ponts vers les petites îles et exposé les récifs disséminés dans la baie, et c’est ainsi qu’est née la cité-état maritime de Limsa Lominsa.[5]

Ère maritime

Limsa Lominsa, à ses débuts, était un lieu de réfugiés sans le sou. Incapables de profiter pleinement des richesses de La Noscea à cause de l’hostilité des kobolds, les habitants vivaient dans la pauvreté, tout en conservant leurs talents de marins. Pour survivre, ils choisirent une autre voie : la piraterie.

En exploitant les quelques rares forêts du sud de La Noscea pour le bois, les Limséens construisirent leurs premiers navires de guerre. Poussés par les vents forts et salés, les premiers habitants de la ville sont entrés dans leur élément et ont commencé à attaquer les navires marchands naviguant sur la mer de Rhotano, féroces comme des loups s'attaquant aux moutons.  Bientôt, la cité-État fut riche en pillage et un marché noir s'ouvrit pour vendre les biens volés.

La piraterie attira d'avantage de monde.  Les lalafells des plaines venaient des îles des mers du sud, attirés par les rumeurs de marchandises bon marché, et les pirates limséens donnaient souvent aux membres des équipages capturés le choix de rejoindre leurs rangs.  Et peu de temps après, les Roegadyns du Clan de la Mer travaillèrent sur les quais de la cité-état maritime aux côtés de miqo’tes solaires et de hyurs[5]

Le trident

À mesure que le nombre de pirates augmentait, des équipages plus complets virent le jour. Cependant, à mesure que ce nombre se multipliait, les affrontements internes devinrent monnaie courante. Les questions de territoire et de partage du pillage ont dégénéré en violence et en l’an 940 de la Sixième ère astrale, la rivalité éclata en une guerre ouverte. pendant près de vingt ans, les rues de Limsa furent baignées du sang des flibustiers.

En 963, un homme changea le destin de la cité-État : un nouvel Amiral, Agatzahr Roehmerlsyn. Issu lui aussi de la piraterie, il imposa un code d’honneur afin de mettre fin au chaos. Grâce aux négociations et aux menaces, il obligea les capitaines à jurer de mettre un terme aux combats et miraculeusement à jurer de respecter un pacte : aucun équipage ne devait s’en prendre à un autre Limseen, ni vendre ses semblables comme esclaves.

Ce code fut appliqué par la guilde des Surineurs, une société secrète, fondée par les meilleurs pirates de chaque équipage, qui punissait quiconque le violait. Ainsi, les lois d’Agatzahr devinrent la norme, non par crainte des autorités, mais parce qu’elles étaient imposées dans chaque ruelle et taverne de Limsa Lominsa. La paix fut enfin restaurée.

Même si le code lui-même était révolutionnaire, son application l’était peut-être davantage. Les plus grands équipages se sont réunis et ont fondé la guilde des Surineurs, une organisation obscure qui punissait ceux qui brisent les codes. Les règles de l'amiral Agatzahr sont devenues une loi pour les pirates, non pas parce qu'elles étaient imposées d'en haut, mais plutôt parce qu'elles étaient appliquées dans toutes les ruelles et dans les tavernes malfamées. Grâce à cela, la paix est revenue à Limsa Lominsa.

Agatzahr instaura également un impôt sur la piraterie, finançant la marine Limséenne: Les Chevaliers du Barracuda. Avec cette force, il s’attaqua aux Kobolds et renforça l’influence de Limsa Lominsa. Grâce à ses réformes, la cité-État prospéra, devenant une puissance incontournable.: les pirates s'enrichirent grâce aux raids sur les navires étrangers, tandis que les Barracudas sécurisèrent les territoires intérieurs et défendait le port. Dans ses dernières années, l'amiral créa également le Trident afin d'éviter une guerre de succession. La cité-État maritime ne serait pas la puissance qu’elle est aujourd’hui sans ses nombreuses contributions.[5]

Révolution

Pendant plusieurs siècles, le Trident désigna des Amiraux compétents, chacun servant sept années (même si l'histoire est parsemée d'amiraux qui sont restés en fonction plus longtemps). Mais en 1563, une figure marqua un tournant : Merlwyb Bloefhiswyn.

Ancienne pirate de la célèbre Clan su Sable d'Argent, elle choqua tout le monde en interdisant officiellement la piraterie dès son accession à l’amirauté. Cette décision mit à mal l’économie de Limsa Lominsa, mais Merlwyb avait compris que la cité-État ne pouvait faire face à la menace grandissante de l’Empire garlemaldais sans puissants alliés, et devait éviter d’attirer l’hostilité des autres nations d’Éorzéa.[5]

L’Accord du Galadion

La décision de Merlwyb fut mal reçue par de nombreux corsaires. Plusieurs tentatives de rébellion eurent lieu, mais l’Amirale tint bon, inébranlable. Elle parvint à convaincre les équipages de coopérer avec les autres cités-États, et réduisit au silence ceux qui refusaient.

En 1569, elle alloua des fonds pour recruter la Fratrie des gabiers, une troupe de mercenaires, afin de repousser Titan, invoqué par les Kobolds. Peu après, les Chevaliers du Barracuda triomphèrent aussi du primordial Léviathan.

En 1572, Merlwyb créa le Maelstrom, la Grande Compagnie de Limsa. Sa victoire finale fut l’Accord du Galadion, qui unifia toutes les forces pirates au sein du Maelstrom, plaçant ainsi Limsa Lominsa sous un seul et même commandement.[5]

Organisations

Le Maelström

Ayant décidé de fonder une Grande Compagnie afin de résister à l'Empire de Garlemald, l'Amirale Merlwyb prit l'Amiral Agatzahr en exemple et se proclama Amiral-Cheffe du Maelström en 1572. Cette décision lui donna le pouvoir de commander tous les navires dans les eaux de Lominsa, pirates comme marchands, et de créer par la même une structure de commandement lui permettant de mettre à profit toute la puissance de Limsa. Plus d'information sur la page du Maelstrom

Les Casaques Jaunes

Aujourd’hui, les Casaques jaunes veillent à la paix dans le territoire Limséen et défendent ses côtes. Ils furent autrefois une branche des Chevaliers du Barracuda, dont ils se séparèrent après le Fléau pour intégrer pleinement le Maelstrom.

Leur nom vient du surnom donné à leurs uniformes : de longs manteaux jaunes vifs portés dans l’exercice de leurs fonctions. Ce sobriquet devint officiellement leur appellation lorsqu’ils cessèrent d’être considérés comme de simples fantassins et prirent leur indépendance des Barracudas.

Les Casaques jaunes sont aujourd'hui dirigés par Reyner Hansred.

Structure organisationnelle :

  • 1re levée : Limsa Lominsa
  • 2e levée : La Basse Noscea et La Noscea Centrale
  • 3e levée : La Noscea orientale
  • 4e levée : La Noscea occidentale
  • 5e levée : La Noscea Exterieure[6]
  • 6e levée : Réserves

Les Bourreaux

Plus importante des trois grandes puissances pirates de Limsa Lominsa, les Bourreaux Sanglants sont dirigés par Hyllfyr, maître des corsaires et seigneur des bas-fonds de la région de La Noscea. Les Bourreaux ont résisté à Merlwyb lorsqu'elle interdit la piraterie, allant même jusqu'à unir des équipages rebelles pour renverser l'Amirale. Cependant, face aux menaces posées par l'Empire Garlemaldais et le Fléau, les rebelles cessèrent la rébellion et signèrent l'Accord de Galadion avec l’amirauté de Limsa Lominsa.

De nos jours, les Bourreaux demeurent une des forces principales de Limsa Lominsa et dorénavant ils jouissent d’une licence de corsaire pour attaquer les navires Garlemaldais.

Cependant, leur chef Hyllfyr s'étant retiré en raison de son âge, de nombreux pirates se chamaillent dans les ruelles pour désigner son successeur.[6][7]

La Horde du Kraken

Deuxième flotte principale de Limsa Lominsa, la Horde du Kraken commandent plusieurs grandes galères qui leur permettent d'entreprendre de longs voyages avec aisance, notamment le Misère, leur navire amiral.

Ils ont souvent navigué vers l’est, pillant les navires marchands et militaires des provinces garlemaldaises. Qualifiant ces expéditions de « commerce des épices », ils vendaient leur butin exotique au Septième Ciel, en tirant de grands profits. On peut dire que la Horde du Kraken se sont mieux adaptés à leur nouveau rôle de corsaires que n’importe quel autre équipage pirate.[8]

La Horde du Kraken est dirigée par Carvallain de Gorgagne.

Les Sirènes Sanguinaires

Équipage presque exclusivement féminin, les Sirènes Sanguinaires sont nées de la rébellion : il y a une trentaine d’années, quatre femmes décidèrent de se tailler une place dans une société pirate dominée par les hommes.

Ces premières Sirènes embarquèrent comme mercenaires sur le navire d’un autre équipage, gagnant une part du butin lors des pillages. Leur nombre et leur richesse augmentèrent, et elles finirent par acquérir leur propre navire : le Dame Infernale. Leur progression rapide leur permit de rejoindre les trois grandes puissances pirates de Limsa.[8]

Cependant, à l’heure actuelle, l’équipage aurait dépérit sous le commandement de Rhoswen, troisième capitaine des Sirènes Sanguinaires. L'une des explications les plus plausibles est que l’équipage s’étant spécialisé dans les attaques éclairs des villes côtières, la guerre avec l'Empire de Garlemald et l'interdiction d'attaquer des cibles civiles en Eorzea, a drastiquement réduit leur champ d'action.[7]

Les Sirènes Sanguinaires sont aujourd'hui dirigées par Rhoswen Leach.

Géographie

L'Entrepont

Limsa Lominsa - L'entrepont
Limsa Lominsa - L'entrepont

L'Entrepont de Limsa Lominsa comptent parmi les structures les plus anciennes de la ville, construits par l’équipage du Galadion entre les tours de la baie. Ces passerelles et plateformes suspendues au-dessus des flots offrent un spectacle magnifique.Lorsqu’ils sont vus de loin, ils brillent et se balancent un peu comme les soies les plus légères et, en tant que tels, ont reçu le nom du “Voile de Llymlaen”.[9]

A: Quais du Barracuda

Ces quais servent d’amarrage aux escadrons principaux de la marine thalassocratique, aussi appelés Le Maesltrom. Par sécurité, leur accès est interdit aux civils, mais il arrive qu’on y aperçoive le navire amiral, le Triomphe, depuis l’une des innombrables rues de Limsa Lominsa.[10]

B: Embarcadère

Alors que les navires de pêche, de commerce et de guerre circulent ailleurs, ces quais servent exclusivement au ferry qui navigue vers la baie des Vèpres, le long de la côte ouest du Thanalan.[10]

C: La porte de Mealvaan

Aux fins de taxation, toutes les marchandises déchargées doivent passer une inspection à la porte de Mealvaan, tout comme les équipages et les passagers des navires à quai.  Créée il y a environ cinq cents ans par l'amiral Mealvaan, la Porte soutient depuis lors la cité-état maritime et son commerce.  Les arcanistes qui le gèrent en tant qu'« évaluateurs » sont versés dans la gestion des comptes et ont établi leur guilde en son sein afin de former les nouveaux venus à leur art.[10]

L'argent ainsi obtenu sert à maintenir les infrastructures portuaires et à assurer la sécurité des équipages. Ces derniers payent tous équitablement leur part lorsqu'ils débarquent ici. [11]

La loi limséenne est très stricte à ce sujet. [12]

Certain familliers des arcanistes sont entrainés à inspecter les caisses de marchandises[13]

D: Camelotade

Les marchands venus de tous horizons viennent y vendre leurs produits. Outre les échoppes exotiques, on y trouve gobelins, Qiqirns et autres revendeurs « hommes-bêtes ». Plus récemment, on y croise même des Mamool Ja, race venue du continent occidental.[10]

E: Octant

Cette vaste cour tire son nom d’un outil de navigation avancé. Bâtie pour honorer son inventeur, Jovanni Gnonno, elle est devenue un lieu de rassemblement central. Après le Fléau, cette place est devenue le nouveau foyer d'une éthérite.[10]

F: La Porte du Zéphyr

Principal accès vers Limsa Lominsa, la porte de la Zéphyrine doit son nom à la brise de l’ouest qui y souffle agréablement. Au-delà se trouve la "Procession of Terns", qui mène à la Noscea centrale.[10]

G: Le Bastingage

Situé au niveau le plus bas du mât d’artimon, le bastingage protège le Pont, centre du gouvernement Limséen. Véritable bastion de défense, il est percé de meurtrières permettant aux soldats de repousser les assaillants.[10]

H: Escale du pêcheur

Situé au point le plus bas de la ville, ce quartier est le fief de la guilde des pêcheurs, la plus grande confrérie de la discipline. Les habitants, toutefois, préfèrent utiliser le sobriquet «Escale du pêcheur».[10]

I: Astalicia

Enregistré comme navire de commerce venant d'eaux étrangères, ce navire de guerre marqué par les combats, commandé par le seigneur des enfers de la région, Hyllfyr le borgne, sert de lieu de rassemblement pour les brigands, les coupe-gorge et les pourvoyeurs de diverses autres espèces de méchancetés. . C'est ici que les nombreux équipages de pirates de la cité-État trouvent de nouvelles recrues pour rejoindre leurs rangs.[10]

J: La Société de négoce de l’Edelweiss

Discrètement situé aux abords du port, ce prétendu « couvent » abrite la Société de négoce de l'Edelweiss. En vérité, cependant, l'endroit sert ceux qui veillent à ce que personne n'enfreigne le code tacite des criminels : la Guilde des Surineurs.[10]

K: Pharos Polaris

Pharos Polaris est un phare blanc construit de manière précaire sur un récif solitaire au cours de nombreuses années. Ses feux guident les navires en toute sécurité à la place de l'étoile polaire. La société Naldiq & Vymelli est chargé de son entretien et, pour des raisons de sécurité, seuls les employés de l'entreprise peuvent y accéder. La rumeur dit qu'un bombo / bombardo alimente les lampes de la tour.[10]


Limsa Lominsa - Le Tillac
Limsa Lominsa - Le Tillac

Le Tillac

Comme les Limséens disposent de peu d’espace pour construire vers l’extérieur, ils ont passé de nombreuses générations à construire verticalement. le Tillac en est ainsi venus à se frayer un chemin autour du mât d’artimon et à s’étendre jusqu’aux tours périphériques le long de ponts de pierre et de bois.[14]

A: Tour de Corail

Surplombant le port de Limsa Lominsa, la Tour de Corail a été construite pour être le quartier général des Chevaliers du Barracuda. À l'heure actuelle, cependant, la tour de guet est le centre d'opérations des casaques jaunes et le terrain d'entraînement de la guilde des Maraudeurs.[14]

B: Les Sept Sauges

Les Sept Sauges proposent des produits allant des épices, herbes et légumes locaux aux ingrédients exotiques venus de pays lointains. Bien que cette épicerie bénéficie de la visite régulière de nombreux chefs, il sert également à dissimuler les transactions de la Horde des Krakens, dont une grande partie du butin repose sur les étagères en attente de vente. [14]

C: Le Bismarck

Ce restaurant de renom sert des mets venus de tous les recoins des cinq mers, et vise à satisfaire les palais les plus raffinés. Il compte parmi les meilleurs restaurant d'Eorzea. Comme la baleine légendaire qui engloutit tout sur son passage, le Bismarck espère que ses clients feront de même.[14]

C’est d’ailleurs le seul réstaurant de luxe de tout Eorzea, ils est donc impossible de s’y rendre à l’improviste dans l’espoir d’y trouver une table malgré leur grande capacité d’accueil. [15][16]

Le bismarck livre aussi des plats à domicile Le service est né d’une décision du chef Lyngsath. [16]

Parmi les créations connues du chef, on cite par exemple l’omelette sans œufs, invention audacieuse devenue célèbre dans tout Éorzéa. Il existe également la spécialité des tranches de dodo grillées, un filet de dodo cuit sur le grill.[17] On retrouve également à la carte les Sandwichs à la Bismarck: Ces canapés constituent un repas compact et facile à transporter. Les cuisiniers du Bismarck ont apporté leur touche à cette recette à l’origine simple, destinée aux travailleurs des docks. [17]

D: L’Artimon

Au cœur de Limsa Lominsa, le « mât d’artimon » s’élève sur l’épave du Galadion, là où son grand mât se dressait jadis. Il abrite le Pont, une auberge, une taverne et même un embarcadère pour aéronef, accessibles grâce à un ingénieux système de poulies appelé la « Palan ».[14]

Le Dauphin Noyé: Selon la rumeur, cette taverne doit son nom à la mère du propriétaire. Le Dauphin Noyé est une taverne qui occupe tout un étage au sein de l’Artimon. Seuls les marins et les pirates fréquentaient les lieux jusqu'à ce que Baderon Tenfingers, un vendeur à la retraite, en devienne propriétaire. Il a autorisé la Guilde des Aventuriers à s'installer et la taverne a commencé à attirer une clientèle plus variée. Le Dauphin Noyé est fier de proposer des plats à la fois abordables et délicieux, et est célèbre pour son toast La Noscea.[14]

C'est un peu farfelu, mais le nom viendrait du fait qu'on sert des tord-boyaux si forts qu'un dauphin n'arriverait plus à nager s'il en buvait. En tout cas, les marins de Limsa Lominsa en redemandent... et c'est à peine s'ils arrivent encore à marcher quand ils ressortent d'ici.[18]

On retrouve parmis les spécialités du dauphin noyé le pain de maïs, et le Toast Noscéen (une tranche de pain trempée dans un mélange d'œufs et de lait de bufflonne puis grillée.[19]

L'auberge du mât d'Artimon: Comme les marins préfèrent dormir dans leurs cabines bercées même au port, l'auberge du mât d’Artimon accueille les aventuriers à la recherche d'un lit plus stable sur la terre ferme, ainsi que les marchands ayant l'argent à dépenser pour une chambre. [14]

L’auberge n’accepte que les gens qui ont été reconnus par la guilde des aventuriers, et on aime pas les usuriers.[20]

C'est l'endroit parfait pour recueillir des informations et trouver des compagnons de route. [21]

E: Maelstrom

Alors que le Commandement du Maelström était à l'origine situé à la périphérie de Limsa Lominsa, le quartier général de la Grande Compagnie a été déplacé vers son emplacement actuel après le Fléau et la création d'un nouveau plan de défense de la cité-état. [14]

F: Hyaline

Vendant du poisson livré frais chaque matin, l'Hyaline tire son nom de l'aquarium aux allures de joyau qui borde sa devanture.[14]

G: La Dunette

Cour publique, la dunette tire son nom de sa position derrière le mât d'artimon, selon la terminologie navale de Limsa Lominsa.

H: Le Membre manquant

À l’origine, cette taverne servait aux Sirènes Sanguines et à leurs membres de passage. Sa cuisine et son ambiance ont rapidement attiré habitants et aventuriers. La plupart pensent que son nom fait référence aux marins disparus en mer, mais certains murmurent qu’il évoque plutôt l’habitude de la capitaine de « démembrer » ses victimes masculines.[14]

I: Naldiq & Vymelli

Fondée par un forgeron nommé Naldiq et un charpentier naval appelé Vymelli, cette entreprise s'est fait un nom en construisant certains des plus grands navires que le royaume, voire le monde, ait vus. Au fil des années, elle s'est étendue à des domaines nombreux et variés, allant des armes à feu jusqu'aux fines armures fabriquées à partir de plaques de métal, en utilisant les mêmes compétences que celles employées pour ceinturer les coques des navires.[14]

J: L’Ancrage

Au début de Limsa Lominsa, l’ancrage était le lieu d'amarrage des pirates les plus redoutés. Il y a environ deux cents ans, un terrible vent a rendu la zone impraticable pour que les grands navires puissent y jeter l'ancre, c'est pourquoi une large cour a été construite à sa place.[14]

Infos en Vrac

Culture Limséenne

La population est globalement rustre. [22]

Limsa Lominsa est une ville cosmopolite à la position de carrefour maritime. [3]


Les Limséens sont des picoleurs de première, ils ont toujours le verre en main. La première chose qu'on apprend en arrivant dans cette ville, c'est le proverbe : “Verre plein, je te vide ; verre vide, je te plains”. Une chose est sûre : pour survivre ici, mieux vaut avoir le foie bien accroché ![23]

Dans l'argot noscéen, on traite de “goujon” une personne lâche car il agirait comme ce petit poisson ayant l'habitude de se cacher dans le sable au fond des rivières.

Zaléra: Ce poisson-ange d'une très grande taille sécrète de la ciguatoxine. On lui a donné le surnom de l'ange de la mort, Zaléra, parce que consommer sa chair est synonyme d'une mort certaine.

Corail Blanc - Eunicella singularis : Bien qu'il semble inanimé, le corail blanc est bel et bien un organisme vivant et non un minéral. Une fois poli, il possède un lustre gracieux qui lui vaut le surnom de “gemme de la mer”

Huître aux lèvres noires - Pinctada margaritifera : Ce bivalve peut parfois donner naissance à une perle fine. La perle noire de cette huître se négocie très cher, puisqu'elle est plus rare que sa cousine aux lèvres blanches.

Nautile - Nautilus pompilius : Cette espèce très ancienne est considérée comme sacrée par les pirates. Ils changent sa coquille en gobelet pour s'en servir lors de banquets célébrant telle ou telle victoire.

lavande d'Althyk

Une des spécialité de Limsa Lominsa est la  lavande d'Althyk[24]

Consortium de Brugaire

Cette firme est l'une des plus grandes maisons de commerrrce de Limsa Lominsa.On y trouve de tout, des armes de combat aux équipements de protection, en passant par les accessoires de mode les plus prisés.[25]

Ça fait un moment qu'ils s'occupent également de tout ce qui est alimentaire [26]

Declaration des biens

Les marchandises importée à Limsa Lominsa doivent être déclarées et les prix de vente sont scrupuleusement verifiées sur le marché [27]

La poudre à canon

La salpêtre synthétique sert à fabriquer de la poudre explosive. Elle est utilisée par le Maelstrom [28]

Les “épices” Limséennes

Vous vous demandez pourquoi on vous a dit qu'il s'agissait d'“épice” ? C'est comme ça que l'on appelle les produits “obtenus en mer” dans le jargon des gens comme Carvallain.[29] Il ne s’agit pas forcément de piraterie. Parfois on parle d'épices pour du commerce.

La peche et le septième fléau

L’activité de peche avait fortement ralenti par l’abandon de l’activité par certains à cause du septième fléau.[30]

Les claquettes

Il y a 300 ans, un amiral a fait interdir de nombreuses choses dont la consommation d’alcool mais il s'en est aussi pris aux concours de danse. Mais des marins ont trouvé la parade, et  Les agents chargés d'empêcher la débauche et la danse n'ont rien pu faire Ils faisaient leurs patrouilles de surveillance, mais on savait qu'ils n'oseraient jamais monter sur le pont d'un navire sans manquement officiel aux règles en vigueur.

Ils restaient dans leur cabine à observer à distance... Or, on ne voyait que le haut du corps à travers ces petits hublots, alors les marins ont mis au point une nouvelle danse qui ne faisait bouger que les jambes : les claquettes ![31]

lys de Nymeia

La sûreté du voyage... c'est ce que symbolise le lys de Nymeia en langage des fleurs.[32]

Sources

  1. 1,00 1,01 1,02 1,03 1,04 1,05 1,06 1,07 1,08 1,09 1,10 1,11 1,12 1,13 1,14 et 1,15 EE I - P094
  2. Site Promotionnel ARR
  3. 3,0 et 3,1 Dialogue de PNJ - Gerald
  4. Carnet de pêche
  5. 5,0 5,1 5,2 5,3 et 5,4 EE I - P095
  6. 6,0 et 6,1 EE I - P098
  7. 7,0 et 7,1 FFXIV TTRPG
  8. 8,0 et 8,1 EE I - P099
  9. EE I - P100
  10. 10,00 10,01 10,02 10,03 10,04 10,05 10,06 10,07 10,08 10,09 et 10,10 EE I - P101
  11. Dialogue de PNJ - P'tahjha
  12. Dialogue de PNJ - R'baharra
  13. Dialogue de PNJ - Mozon Dalazon
  14. 14,00 14,01 14,02 14,03 14,04 14,05 14,06 14,07 14,08 14,09 14,10 et 14,11 EE I - P103
  15. Dialogue de PNJ - H'lahono
  16. 16,0 et 16,1 Dialogue de PNJ - Ingham
  17. 17,0 et 17,1 Carnet d'artisanat
  18. Dialogue de PNJ - S'dhodjbi
  19. Carnet d’artisanat
  20. Dialogue de PNJ - Mytesyn
  21. Dialogue de PNJ - Gregory
  22. Dialogue de PNJ - Gigiwazu
  23. Dialogue PNJ - Quentenain
  24. Quête Lvl 1 - C’est l’intention qui compte
  25. Dialogue de PNJ - J'nasshym
  26. Quête Lvl 1 - Echange de politesse
  27. Quête (Lvl 1 - La transparence des prix / Lvl 1 - De la timidité du marchand gobelin )
  28. Quête (Lvl 41, un mysterieux vol Salpêtre)
  29. Quête - Lvl 2 - Des épices de haute mer
  30. Quête lvl 3 - La peche aux bateaux.
  31. Quête Lvl 14 - Danse avec les fous
  32. Quête Lvl 50 - Transmettre l’espoir aux générations futures