« Astromanciens (Job) » : différence entre les versions
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Version du 8 septembre 2023 à 01:31
Dans la quête de la maîtrise de la divination, l’homme s’est tourné en direction de la vérité écrite dans les cieux. Cependant, les Sharlayanais ne se sont pas juste limités à observer les astres, mais ils ont également décidé de suivre leurs mouvements. En accordant leurs énergies éthérées à celles des constellations, ils ont appris à manier une magie aux propriétés inconnues jusqu’alors. Ainsi naquit l’Astromancie, une nouvelle forme de magie qui confère à ses utilisateurs un pouvoir sur le destin. En utilisant un globe céleste et un deck de cartes de divination, la fortune sourit toujours à ces maîtres des arcanes.[1]
Histoire
Le célèbre auteur du Calendrier Eorzéen, le Sharlayanais Lewphon dédia deux décennies de sa vie (entre 210 et 230 de la sixième ère astrale) à l’étude de l’observation des astres. En analysant les essais historiques de l’homme tentant de lire son destin, Lewphon espérait séparer la superstition d’une connaissance plus fiable reposant sur des preuves : l’Astrologie. Cette étude a finalement révélé qu'une grande partie des théories anciennes sur le sujet étaient légitimes. Cette révélation modifia l’ensemble de ses recherches, reconstruisant les principes fondamentaux de l'Astrologie pour finalement aboutir à la création de l’Astromancie (ou science des miracles pour les plus fervents partisans), un art qui harmonise l’éther de celui qui le manie avec les mouvements des corps célestes.
Suite aux découvertes de Lewphon, les cartes de divination, auparavant considérées comme un divertissement pour enfants, ont été réévaluées d’un point de vue académique. Le jeu des arcanes, avec ses cartes représentant les constellations, ainsi que le globe céleste, sont intégrés à cette discipline Sharlayanaise unique.[1]
À Ishgard, l'astromancie s'est transformée en une science des étoiles bien distincte servant à prévoir les attaques des Dravaniens. C'est la raison pour laquelle il y a une distinction en les “astrologues” d'Ishgard et les “astromanciens” de Sharlayan. Les deux disciplines ont la même origine, mais une mise en pratique et des objectifs totalement différents.
L'arrivée de l'astromancie sharlayanaise à Ishgard a d'abord été très mal vue, rejetée, même. Mais avec le temps, Sire Rufin (Dame Leveva de son vrai nom) a su montrer l'utilité de la discipline. Cette dernière est officiellement enseignée au Scolasticat Saint-Endalim aujourd'hui. Cependant, cette ouverture au reste du monde n'est pas partagée de tous : selon le conseil de Sharlayan, l'astromancie ne doit pas être enseignée en dehors de l'archipel sous peine de jugement aux conséquences qui peuvent être graves (on parle ici d'une troupe d'élite qui vint chercher Leveva en Éorzéa par la peau du popoto ; suite à ces évènements, la jeune femme s'est faite passer pour morte et le conseil a semblé avoir mis l'affaire de côté pour l'instant).
Comment ça marche ?
On raconte que le continent d'Éorzéa est surplombé par sept voûtes célestes. Les six premières sont les voûtes du feu, de l'eau, du vent, de la glace, de la foudre et de la terre. Celle qui englobe toutes les autres de sa lumineuse magnificence s'appelle la voûte astrale.
Les portes des six constellations correspondent chacune à leur voûte élémentaire. Elles sont réparties autour de l'étoile polaire.
Reliées entre elles, les étoiles de chaque constellation représentent une porte du firmament.
C'est de cet ensemble sidéral que les astromanciens tirent leur pouvoir. Chaque porte permet à l'astromancien qui l'ouvre de consolider ses liens avec la constellation correspondante. Pour ce faire, il est nécessaire de contempler les étoiles à des endroits précis.
Il existe un rite d'initiation dans lequel l'utilisateur ouvre ces six portes. Pour ce faire, il faut attendre le moment où la lumière des étoiles est la plus intense, c'est alors que le regard doit se poser sur les astres. L'intensité des astres n'est pas la même selon l'endroit d'où on les observe, c'est pour ça qu'il faut voyager.
En astromancie cependant, il ne s'agit pas de prêter attention seulement aux étoiles les plus brillantes, mais aussi de prendre compte la bénédiction intégrale des cieux.
Les Portes du Firmament selon les quêtes de job
| Forêt du Sud - Élément de la Terre
"L'arcane du Tronc tire donc son immense pouvoir de l'écorce de cet arbre divin. Une fois utilisée, elle fera de vous un combattant très robuste." |
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|---|---|
| Thanalan oriental - Élément du Feu
"Voilà pourquoi le symbole de cette constellation est la Balance. Elle confère le pouvoir de la justice à l'astromancien qui a fait suffisamment d'efforts pour parvenir jusqu'ici." |
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| Thanalan méridional - Petite Ala Mhigo - Élément de la Foudre
"Cette constellation est donc logiquement représentée par l'arcane de la Tour. Elle offre le pouvoir destructeur de la foudre à l'astromancien qui désire développer son potentiel offensif." |
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"La voûte céleste du vent a donc pour symbole la Flèche, qui confère agilité et rapidité aux attaques de l'astromancien qui hérite de ses bienfaits." |
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| Mor Dhona - Élément de l’Eau
"C'est ainsi que le symbole de cette constellation est devenu l'Aiguière. Son pouvoir permet de s'abreuver à la rivière de la connaissance et d'en extraire une grande puissance." |
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| Coerthas central - Vigile d’acier - Élément de la Glace
"C'est pourquoi le symbole de cette constellation est l'Épieu. Sa pointe acérée alliée au souffle dévastateur de la Conquérante vous permettra d'empaler vos ennemis jusqu'au dernier." |
Jannequinard nous donne son expérience quant aux études d’Astromancie à Sharlayan :
“Hélas, même une vie entière d’étude et d’entrainement ne peut dévoiler tout les secrets écrits dans ces étoiles. Moi même j’ai étudié les arts astromantiques pendant plus d’été que je ne peux en compter, et il m’arrive encore de mal interpréter les signes qui me sont montrés dans le ciel. Cependant mes lectures sont bien plus précises maintenant qu’elles ne l’étaient lorsque je fréquentais l’Athénée (Athenaeum) de Sharlayan Oas ke Sharlayan, remarquez. La colonie qui prospérait autrefois dans l’arrière pays dravanien.
Je me souviens de mon séjour là-bas comme si c’était hier. Les six premières lunes, je n’étais même pas autoriser à toucher le jeu des soixante, et encore moins à faire une lecture des arcanes majeurs. Je passais la plupart de mon temps dans le scriptorium à transcrire de vieux tomes sur les fondamentaux astrologiques tels que les six maisons élémentaires, la duplicité divine, la triplicité de classe, la modalité et la polarité des maisons, la dignité contre le détriment…
Je détestais la tâche, et je harcelais inlassablement mes instructeurs pour savoir quand j’aurais l’occasion de jeter un sort ou de faire une divination. Ce n’est qu’à la fin de la sixième lune que j’ai réalisé que toute ces transcriptions m’avaient préparé aux éléments essentiels dont j’aurais besoin pour faire des choses. Les positions des corps célestes dans les six maisons élémentaires, leur relation avec les arcanes majeurs et mineurs du jeu des Soixante, tel était les secrets pour exploiter le pouvoir éthéré enfermé dans les cieux.”
Citations
Leveva :
"Il est facile de mettre ces événements sur le compte du destin, comme un astromancien inexpérimenté aurait tendance à le faire. Cependant, le vrai pratiquant de notre art sait que ce n'est pas une influence que l'on subit passivement. Le destin est également l'incarnation d'un certain nombre d'épreuves qu'il est nécessaire de surmonter. Voilà à quoi vous devrez vous employer tout au long de votre carrière, [...]."
Jannequinard :
"Ce que Sevestre ne semble pas comprendre, c'est que le destin n'est pas une chose immuable. Il change en fonction des actions de chacun [...]."
Équipement
Ces robes ont longtemps été l’uniforme standard des astromanciens de l’Académie des arts magiques de Sharlayan. Désigné pour être conforme à la tenue traditionnelle des mages, l’ajout d’un croissant de lune décorant le chapeau et d’un soleil à la taille permet d’identifier la discipline plus simplement.[1]
Outils de l'astromancien[3]
La plupart des instruments de divination et d’observation céleste peuvent êtres répartis en deux groupes : ceux pour la divination, et ceux pour la navigation. Les tellurions et torquetums furent développés pour prédire la position relative des planètes et leur influence sur les astres voisins, et la lecture de ces deux éléments, associée aux prévisions tirées des arcanes, permet de prédire l’avenir de chacun. A l’inverse, les octants, Les quartiers de Davis, et les astrolabes permettent de donner un sens à la retranscription de la position des corps célestes sur une carte, ce qui permet d’améliorer la précision lors de voyages à travers les étendues infinies des océans.
Lewphon supposait que les instruments de ces deux groupes pouvaient être utilisés en tandem, avec des symboles arcaniques, pour rediriger l’éther des cieux vers l’utilisateur, ce qui permettait de lancer des sorts. Ces théories marqueront les débuts de l’astrologie Sharlayanaise moderne.
Planisphère
Cette simple carte du ciel est composée de deux disques métalliques qui tournent autour d’un point d’appui central et qui, en fonction de leurs positions relatives, peuvent prédire la disposition des cieux un jour donné dans un cycle saisonnier complet. Des pierres précieuses représentant les six constellations principales de l’astrologie Sharlayanaise sont souvent incrustées sur le disque supérieur pour mieux accentuer les mouvements des corps célestes.[3]
Globe céleste
Bien qu’il ne s’agisse pas d’un globe au sens strict du terme, le globe céleste, lorsqu’il est entièrement déployé, présente une série d’anneaux concentriques chargés d’énergie éthérique qui pivotent autour d’un disque central représentant la Lune et la Mère Hydaelyn. Un astromancien compétent peut prédire les événements à venir en interprétant les modèles révélés par la position des anneaux.[3]
Astromètre
Puzzle délicat composé d’engrenages, petits et grands, l’astromètre fournit des informations précises sur le mouvement apparemment fortuit du soleil et des étoiles. La nature complexe de cet instrument limite sa création, son entretien et sa réparation à une poignée d’orfèvres dispersés à travers le monde.[3]
Torquetum
Ajout très récent dans la panoplie de l’Astromancien moderne, le torquetum augmente la précision de la lecture des étoiles en appliquant les coordonnées actuelles de l’utilisateur, horizon, écliptique et équateur.[3]
Miroir Octogénaire
Outil de divination commun aux géomanciens d'Extrême-Orient, ces plaques hexagonales polies sont à bien des égards similaires aux dispositifs utilisés par les astromanciens de l'ancienne Sharlayan, bien qu'elles aient été développées à des dizaines de milliers de malms de distance. Chaque côté du miroir est censé représenter l'une des huit directions cardinales et ordinales et transmet une multitude d'informations, de la position des étoiles à la force et à l'emplacement des flux éthérés.[3]
Éphéméridosphère
Deux miroirs octogénaires tournant indépendamment et réunis à la manière d'un planisphère, l'éphéméride est, par essence, une union révolutionnaire de l'ingéniosité occidentale et de la tradition orientale, rendue possible par l'ouverture de nouvelles routes commerciales et le relâchement progressif de la politique isolationniste hingashienne.[3]
Compétences[2]
Équilibre astral (LB3)
En ouvrant la porte du septième ciel, le plus haut des domaines célestes, l’astromancien imprègne le champ de bataille de la bénédiction céleste. On dit que cette technique a le pouvoir d’orienter le destin d’une personne vers une victoire quasi-certaine.
Bienfaisance
Les Astromanciens canalisent les énergies de guérison en harmonisant leur éther aux corps célestes « bienfaisants ». Inversement, une affinité avec les corps « malfaisants » permet de lancer des sorts destructeurs : cette synchronisation représente le principe fondamental de l’Astromancie.
Gravité
Cette magie manipule l’énergie attractive de la gravité. Les créatures dans les environs sont sujet à une pression écrasante, en particulier sur la première cible touchée.
Opposition céleste
Considérée comme l’essence même de l’astromancie, cette technique lie l’éther de l’utilisateur au plus haut des cieux. Une simple traction sur ce cordon céleste modifie les schémas du destin, bénissant les alliés d’une bonne fortune et affligeant les ennemis d’un mal soudain.
Tirage
Se référer à l'article sur la divination.
"Que la bénédiction des étoiles soit sur vous."
Sources
- Site de l'extension de FINAL FANTASY XIV : Heavensward
- Encyclopedia Eorzea I - p. 244
- Quêtes de job astromancien EN & FR
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