Belah'dia, Sil'dih et Ul'dah (histoire)

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Ul'dah

L’âge des cités du désert.

L'histoire du Thanalan que nous connaissons aujourd'hui remonte à plus d'un millier d'année, au tout début de la sixième ère astrale. A cette époque, les survivants de la guerre de la magie et du fléau qu’elle à engendrée affiche une réelle crainte envers les mages qui dirigeaient les grandes nations d’autrefois. Ces mages ont alors commencé à être persécutés à cause des dommages qu’ils avaient causés. La magie s’est vue interdite et la plupart de ceux qui la pratiquaient autrefois n’avaient d’autre choix que de fuir.

Les siècles passèrent et cette crainte commençait doucement à s’amenuir, à tel point que l’histoire de ces mages était devenue une légende. Les hommes convoitaient alors à nouveau le potentiel de la magie et à l’exception de certaines magies, comme la magie noire, les mages pouvaient à nouveau la pratiquer.

Ce sont les descendants Lalafells de la cité de Mhach qui décidèrent de s’aventurer dans les terres arides du Thanalan, là où les hommes n’osaient aller. Il était impensable alors de s’y installer. Pourtant, ils utilisèrent leur magie pour trouver de l’eau sous le sol du Thanalan et ainsi, commencèrent à s’établir. Le campement devint une ville, la ville devint une nation.

En 737, Belah’dia est devenue la première cité du Thanalan, ainsi que la nation à la base de la culture Thanalanaise qui règne encore de nos jours. Elle est aussi la base de la création de l’occultisme, saine pour l’éther d’Eorzea.

Belah'dia

L’apogée de Belah’dia

En 750, la grande migration Hyur marque l’arrivé de masse de ce peuple en Eorzea. Répartis partout sur le continent, ils seront les premiers à se mélanger aux nombreux Lalafells peuplant alors une Belah’dia en construction. C’est quelques années plus tard, en 755, que Belah’dia du faire face à son tout premier problème. Albin le Cendreux, un chef de clan Hyur décide d’envahir le Thanalan et s’attaque à la cité. Très rapidement, Belah’dia sort vainqueur de ce conflit, renforçant son image de cité forte et puissante, incitant de nombreuses personnes à les rejoindre.

Le système politique de Belah’dia est alors déjà un sultanat et le restera jusqu’à la fin. Le plus connu de ses sultans est Lalafuto III. En 871, ce lalafell disparu mystérieusement et les recherches de ce sultan ne s’arrêteront qu’en 873. Il était aimé mais beaucoup pensent alors à une trahison.

Pendant près d’un siècle encore, Belah’dia connaîtra un âge d’or et de paix.

La rupture de Belah’dia et la naissance des cités jumelles.

C’est en 964 que la situation parfaite de Belah’dia se dégrada, lorsque le sultan de l’époque tomba malade et que la question de sa succession souleva les débats. En effet, ces deux fils, Sasagan et Sasawefu convoitaient tout deux le trône et une grande rivalité entre deux camps se forma, jusqu’à donner naissance la même année à une guerre civile qui dura jusqu’en 969, année de la rupture de Belah’dia en deux nouvelles nations.

Sasawefu fonda alors Sil’dih avec ses fidèles, tandis que Sasagan fonda Ul’dah. Cette situation, bien que mettant fin à la guerre civile, n’était pas sans tensions et les deux cités ont alors toujours été rivales.

En l’an 1000, Ul’dah enrôla pour la toute première fois des Roegadyns et Hyurgoths mercenaires pour continuer la guerre avec Sil’dih. 100 années plus tard, la création du colisée d’Ul’dah marquera le début de l’âge des gladiateurs.

Du côté de Sil’dih, c’est en 1159 que les choses changent avec l’arrivée au pouvoir de Lalawefu Sil Tatawefu, qui succède à son père. Il mettra en place une réforme économique basée sur l’impôt avec succès, même si le peuple Sil’dien n’appréciera pas vraiment cette réforme et un mécontentement grandissant peu à peu.

En 1162, Tatawefu prendra des mesures de sécurité au sujet des sources d’eau de Sil’dih et détournera celle de Ul’dah, privant l’adversaire du bien le plus précieux du Thanalan : l’eau. Il serra acclamé par le peuple Sil’dien pour ce geste et serra nommé « le Sourcier ».

En 1177, une sècheresse s’installa dans le Thanalan et Tatawefu succombera, devenant le dernier sultan de Sil’dih et donnant – à la base provisoirement - le pouvoir aux nobles Sil’diens.

Le mensonge de Sasagan sur la chute de Sil’dih.

Privée de source d’eau suffisante pendant une sècheresse par Sil’dih, le peuple Ul’dien toujours dirigé par Sasagan Ul Sisigan s’attaqua à Sil’dih pour reprendre ce qu’on lui avait volé. La mort du sultan Sil’dien offrait aux Ul’dien l’occasion parfaite pour commencer un siège. De leurs côtés, les nobles Sil’diens tournèrent la colère du peuple vers leurs envahisseurs, accablant toujours plus le peuple sous les taxes. La guerre, bien que sanglante et longue, semblait alors ne pas avoir d’issu puisqu’aucun des deux camps n’arrivait à prendre l’avantage.

En 1181, les mages et alchimistes de Sasagan mirent au point une poudre capable de relever les morts en zombies. A l’aide de catapulte, il transforma - sans prévenir le peuple Ul'dien– toute la population de Sil’dih en zombie et lança alors une « croisade sacrée » sur Sil’dih, refermant à tout jamais les portes de la cité et éradiquant les zombies à l’extérieur.

Sasagan était cependant dans l’incapacité de révéler le secret de cette histoire à son peuple et inventa un mensonge : Ce sont les nobles Sil’diens, voyant les fonds de la cité disparaître à vue d’œil sous le coût de la guerre, qui utilisèrent une poudre pouvant relever les morts afin de faire une armée de zombie, capable de terrasser Ul’dah. La situation leur aurait donc échappé et toute la ville se serrait transformée. L’acte de Sasagan passait ainsi d’un geste inexcusable à une croisade sacrée héroïque.

Ruines de Sil'dih
On peut appercevoir sur l'arche à gauche le symbole d'Azeyma au centre du frontont, et un peu partout dans les ruines thanalanaises.

La fin de la première dynastie Ul et le début de la Dynastie Thorne.

En 1190, Ul’dah débarrassé de ses problèmes, elle commença à devenir ce pour quoi elle est connue aujourd’hui. Les marchands Ul’diens achetèrent des bateaux aux Limséens et commencèrent à commercer avec les peuples de l’est et du proche Orient. 10 ans plus tard, avec l’âge d’or des pirates, ces mêmes commerçants furent forcés d’armer leurs bateaux pour combattre les pirates.

Mais en 1224, Baldurf Thorne, un noble Hyur de Ul’dah appris le secret de la chute de Sil’dih, découvrant ainsi le PÔT AUX ROSES. Il accusa Sasagan pour son crime et malgré la ferme contestation de ce dernier, le peuple qui voyait Baldurf Thorne comme un de ses citoyens les plus respectable et patriote, jugea Sasagan qui fut condamné à finir ses jours dans la fosse de Marasaja. Son secret serra cependant gardé, laissant à Ul'dah l'idée de la version de Sasagan.

Baldurf Thorne, refusant en premier lieu toute prise de pouvoir, fut forcé de constater que sans régent, Ul’dah ne s’en sortirait pas. Il accepta donc de devenir le régent temporaire de Ul’dah, jusqu’à que la situation de la nation soit stable.

Ils sont connus pour avoir mis en place la fête des demoiselles, dédiée à Edvya, la fille unique de Baldurf et à sa sauveuse. Cette dernière aurait disparu un jour et avec l’aide d’une jeune fille de basse naissance, l’aurait retrouvée. Il marquera cet incident comme un jour de fête pour rendre hommage à cette petite fille et au peuple qui a aidé à la retrouver.

Les Thorne s’occupèrent aussi de la révolte des géants travaillant dans les mines, lorsque des casques permettant de les contrôlés auraient cessé de fonctionner.

Sous ce règne, les Thorne s’occupèrent principalement des problèmes d’Ul’dah, avec la sortie des zombies par les égouts de Sil’dih. Ils serront appuyés par les Amalj’aa, qui s’allièrent à eux le temps d’expier ces zombies de leurs terres sacrées.

Avec l’aide des Amalj’aa et des mercenaires Mhigois, les Thornes ont éradiqués la plupart des zombies sorties des égouts Sil’dien et c’est en 1355 que les Thornes rendirent le pouvoir aux Ul, marquant le début de la seconde Dynastie de cette famille.

Drapeau Ul'dah

L’âge d’or de Ul’dah

Nombreux Sultans se sont succédé durant toutes ces années, cherchant à faire de Ul’dah la ville prospère qu’elle est devenue. Pourtant, ces sultans ne peuvent s’accorder tout le mérite. De fil en aiguille, des marchands se sont imposés, devenant des personnalités très importantes de la cité, s’élevant presque au niveau des sultans. Ces derniers investissaient pour la cité et son bien, améliorant toujours plus le niveau de vie de la cité.

Mais rien n’est gratuit dans cette ville et cet investissement méritant salaire, un syndicat nommé « Cartel du Scorpion » a été mis en place, offrant un siège leur valant la place de conseillé du sultanat aux six Ul’dien les plus influents.

Aujourd’hui, le pouvoir est divisé au sein du Cartel du Scorpion, bataillé entre deux mouvements politiques : Les monétaristes et les sultanistes.

Sources :

  • Encyclopedia Eorzea I
  • Quêtes de la relique 50 paladin
  • Quêtes du Thanalan
  • Quête et donjon de Qarn :